enrichir son vocabulaire anglais
Méthodologie

Comment enrichir son vocabulaire en anglais ?

Enrichir son vocabulaire en anglais peut sembler difficile, surtout lorsque, dès le collège, on a décroché sur cette matière. On se catégorise alors avec les personnes « mauvaises en langues » et on ne cherche plus à s’améliorer. Or, enrichir son vocabulaire en anglais est la première étape pour réussir à parler anglais. Il peut s’agir d’un processus amusant et stimulant. Voici quelques conseils pour améliorer votre vocabulaire en anglais.

 

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1) Lire des livres en anglais

La lecture est l’un des meilleurs moyens d’enrichir votre vocabulaire. Choisissez des livres adaptés à votre niveau d’anglais et lisez-les régulièrement. Plus qu’un livre adapté à votre niveau, nous vous conseillons de choisir une histoire que vous connaissez et appréciez. Par exemple, si vous êtes fan de Harry Potter, lire les livres en anglais est un réel challenge que vous serez fier d’avoir accompli, en sachant que vous comprendrez forcément l’histoire. Vous ne serez donc pas bloqué sur chaque mot, à aller chercher sa signification sans rien comprendre à l’histoire. Vous pourrez avancer, apprécier l’histoire, tout en accumulant du vocabulaire sans vous en rendre compte.

 

2) Regarder des films et des séries en anglais

Les films et les séries télévisées sont un excellent moyen d’améliorer votre vocabulaire en anglais. Écoutez attentivement les dialogues et essayez de comprendre les mots inconnus en fonction du contexte. Les séries comiques telles que Friends sont une excellente façon d’améliorer votre anglais. Il s’agit de vocabulaire de la vie de tous les jours, avec des dialogues simples et idiomatiques. Mettez les sous-titres en anglais si vous vous en sentez capable et laissez vous porter par la série !

 

3) Écouter de la musique en anglais

Écouter de la musique en anglais peut vous aider à apprendre de nouveaux mots et expressions. Écoutez attentivement les paroles et essayez de comprendre le sens de chaque mot. Regarder les vidéos lyrics sur YouTube vous permettra, non seulement de comprendre la chanson que vous chantez (ce qui est toujours mieux), tout en retenant l’orthographe des mots et leur signification !

 

4) Utiliser des applications pour apprendre de nouveaux mots

Il existe de nombreuses applications pour apprendre de nouveaux mots en anglais. Les applications telles que Duolingo, Memrise et Quizlet peuvent vous aider à enrichir votre vocabulaire. Ces applications peuvent vous aider à apprendre de nouveaux mots et à les mémoriser de manière amusante et interactive.

 

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5) Utiliser un dictionnaire en ligne

Utilisez un dictionnaire en ligne pour chercher la signification des mots que vous ne connaissez pas. Les dictionnaires en ligne tels que Merriam-Webster et Oxford English Dictionary sont d’excellentes ressources pour apprendre de nouveaux mots. Essayez d’apprendre la signification des mots par contexte en lisant des exemples et en trouvant des synonymes et des antonymes.

 

6) Apprendre les racines et préfixes

Apprendre les racines et préfixes peut vous aider à comprendre de nouveaux mots en anglais. Par exemple, si vous connaissez la signification du préfixe « un- » (qui signifie « non »), vous pouvez facilement comprendre des mots tels que « unhappy » (malheureux) ou « unfair » (injuste). Apprendre les préfixes et les suffixes les plus courants en anglais peut aider à enrichir votre vocabulaire en facilitant la compréhension des nouveaux mots.

 

En somme, la clé pour enrichir votre vocabulaire en anglais est de pratiquer régulièrement, de lire, d’écouter et d’utiliser de nouveaux mots autant que possible. Avec un peu de patience et de persévérance, vous pouvez améliorer votre vocabulaire et devenir plus confiant dans votre utilisation de l’anglais.

 

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Orientation Sélection Vie en école

INTERVIEW – LA VIE ÉTUDIANTE À L’IAE NICE !

Suite à la victoire de la Battle des IAE, par l’IAE Nice, nous avons eu l’honneur d’interviewer tout un groupe d’étudiants de l’IAE Nice. L’occasion de donner la parole aux étudiants et pouvoir avoir des avis sur la vie étudiante en IAE.  

 

Pouvez-vous vous présenter ? 

Je m’appelle Camille Moreau, j’ai 22 ans, je viens de la région pays de la loire. Je suis actuellement en M2 ingénierie commerciale au sein de l’IAE de Nice. Je suis arrivée dans la région pour mes études en septembre 2022.

Bonjour ! Moi c’est Charline AMELOOT, étudiante en Master 2 de Management de la communication d’entreprise (aka l’un des meilleurs masters). Ma famille vient du Nord de la France (Lille) et je suis la petite dernière, pur produit du Sud. J’ai commencé mon parcours scolaire avec un DUT Techniques de Commercialisation à Nice puis une Licence 3 en Management des équipes, qualité et développement durable à l’iaelyon pour finir en Communication. Oui, un parcours un peu atypique !

Mathieu Pujol, 22 ans, actuellement en Master 1 Gestion Internationale de Patrimoine à l’IAE de Nice. Je viens de Douarnenez, une ville en Bretagne, je suis arrivé à Nice il y a 6 ans. En dehors de mes études, je suis également pompier volontaire pour la compagnie de Nice.

 

Décrivez-nous la vie étudiante à l’IAE Nice.

Camille : Étant membre du BDE, je ne suis pas sûre d’être très objective sur cette question, cependant je peux dire que la vie étudiante à l’IAE de Nice est très riche, malgré le fait que la ville n’est pas réputée pour sa dynamique étudiante. Cette année, le BDE a cherché à redynamiser la vie associative en proposant un large choix d’événements afin de plaire aux plus grands nombres. Je pense que c’est mission réussie au vu des nombreux retours positifs que nous avons eu de la part des étudiants. Ainsi, la vie étudiante en tant que membre du BDE est très mouvementée et chargée, mais c’est ce qui fait la beauté de l’expérience et qui permet de créer des liens entre les différents membres.

Charline : Rythmée, je pense que c’est réellement le mot pour cette année 2022-2023. L’année dernière avec le covid et un manque de motivation des étudiants je pense aussi, la vie
étudiante à l’IAE était relativement faible. Alors avec notre groupe d’amis, nous avons créé le BDE de cette année. Je pense que d’un point de vue interne, c’est une sacrée expérience et qui prend beaucoup de temps et de patience.
En tant que membre du BDE et participant aux événements, je ne peux l’assurer, mais les étudiants le diront d’eux-mêmes, cette année était une réussite : des week-ends ; des soirées étudiantes ; des activités sportives et extérieures… Un panel d’événements étudiants adaptés à tous !

Mathieu : Etant Vice-président du BDE de l’IAE de Nice, ma vie étudiante au sein de l’école est très mouvementée. Je pense que cette année, on a réussi à unir tous les étudiants autour de leur école et permettre à chacun de s’épanouir pleinement dans sa vie étudiante tout en gardant un équilibre entre les études, les sorties et les événements divers.

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Depuis vos débuts à l’IAE Nice, quel a été le moment le plus fort ?

Camille : Je dirais qu’il y a eu deux moments très importants pour moi à l’IAE de Nice. Premièrement, mon admission au sein de l’école en elle-même. En effet, intégrer un IAE était un objectif pour moi, réussir à avoir passer les différentes phases d’admissions était vraiment gratifiant. De plus, cela marque le début d’une nouvelle aventure loin de ma région natale. Deuxièmement, le moment le plus fort a été pour moi mon arrivée au sein du BDE, nous avons su créer une vraie équipe, qui est devenue un vrai groupe d’amis. Cette expérience associative a su m’apporter en compétences mais aussi en expériences, c’est pour moi quelque chose que je referais sans hésiter.

Charline : C’est dur de devoir choisir ! Mais je pense que le moment le plus fort pour moi était lors de notre week-end d’intégration en général. Si je devais choisir un moment, je pense que je choisirais lorsque j’étais photographe au WEI. L’espace d’un instant, c’est comme si tout était figé, je réalisais que cela allait être un moment inoubliable. Je capture les sourires, les visages, les découvertes et les rencontres de chacun. Notre dur labeur avait porté ses fruits. Je pense sincèrement que je pourrais raconter cet instant à mes enfants, et bien sûr, certaines personnes que j’ai rencontrées ce jour-là seront toujours à mes côtés dans les années à venir.

Mathieu : Le moment le plus fort pour le moment a été je pense le week-end Neige organisé par le BDE. C’est le premier organisé au sein de cette école et la réussite était au rendez-vous. Les contraintes étaient nombreuses et l’événement a vraiment permis aux étudiants de s’évader le temps d’un week-end et même, pour certains, de découvrir les joies de la neige et des sports de glisse.

 

Etes-vous membre d’une association ? Si oui, quelles sont les actions que vous réalisez tout au long de l’année ? 

Camille : Je suis membre du BDE en tant que responsable partenariat, ce qui fait écho à ma filière. Nous avons pu réaliser de nombreux événements depuis le début de l’année : WEI, WEIGE, soirée patinoire, soirée d’intégration, gala, soirée parrain marraine, paintball, etc. L’objectif est vraiment de mettre en place une diversité d’événements afin que chaque étudiant puisse y trouver son bonheur et créer des liens.

Charline : Comme je l’ai dit précédemment, je fais partie du BDE de cette année. Je suis dans le pôle communication et je réalise les supports de communication visuelle qui sont publiés sur Instagram et LinkedIn De manière générale, je me suis occupée des grands événements tels que le week-end d’intégration et le week-end à la neige en termes de visuel et charte graphique.

Mathieu : Tout au long de l’année, nous avons réalisé diverses activités, adaptées à tout le monde, enfin cela est notre objectif nous espérons l’avoir atteint.
– Un week-end d’intégration
– De nombreuses soirées étudiantes
– Des afterworks
– Un week-end à la neige
– Un gala de fin d’année
Prochainement, de nombreux événements sportifs sont prévus pour clôturer cette fin d’année !

 

Pourquoi avoir choisi les IAE ?

Camille : J’ai choisi d’intégrer un IAE car c’était pour moi la suite logique à mes études. En effet, après mon DUT GEA et une licence en banque, l’IAE me semblait avoir le cadre idéal pour finir mes études : des enseignements riches (vacataires et chercheurs), une vie associative développée, un accompagnement de la part des professeurs, une vraie entente entre camarades. Faire le choix d’un IAE, c’est faire le choix d’une école avec un certain prestige, qui est connu par beaucoup d’entreprises et qui permettra une insertion plus rapide et facile sur le monde du travail.

Charline : Ayant fait partie d’un IUT, l’IAE fait partie des suites logiques de ce type de diplôme.
De plus, n’étant pas fan des écoles de commerce et de leur mentalité, l’IAE a été pour moi une réelle opportunité, tant bien par ses enseignements, que de son côté financier. En effet, les IAE sont gratuits et proposent des formations en alternance ce qui me permet de subvenir à mes besoins.

Mathieu : Le fait de pouvoir effectuer ses études sans frais d’inscription et sans perdre la qualité de la formation est une réelle chance. Les IAE sont reconnus par le monde professionnel.

Lire plus : Passer les concours AST et devenir entrepreneur : témoignage vidéo !

 

Pourquoi avoir choisi en particulier l’IAE Nice ?

Camille : J’ai choisi l’IAE de Nice car c’est un des seuls IAE qui propose une formation en ingénierie commerciale, en alternance mais également en formation initiale. Ainsi, les cours proposés correspondaient exactement aux compétences que je souhaitais développer.

Charline : Ayant été à l’IAE de Lyon, je décidé de rester quand même attaché à ma ville natale et bien évidemment au soleil de la Côte d’Azur. J’ai donc décidé de postuler à l’IAE de Nice, pour me rapprocher de ma famille mais bien évidemment aussi par ses possibilités de discipline diverses et variées.

Mathieu : Dans un premier temps, l’IAE de Nice a un Master qui correspond parfaitement à mon projet professionnel. Le format d’alternance me correspond également. De plus, la ville de Nice est une belle ville, avec un cadre de vie exceptionnel donc pourquoi s’en priver !

 

Qu’apprenez-vous au sein de votre formation ? 

Camille : Les enseignements sont riches et diversifiés, l’objectif est de repartir avec le plus de bagages possible. Par conséquent, nous étudions aussi bien les techniques de ventes, le comportement du client, les gestions complexes en situation de négociation que la prévision des ventes et l’animation en point de vente. Cette diversité permet de s’adapter à toutes les situations auxquelles va pouvoir faire face un commercial ou un manager.

Charline : Provenant d’un cursus hors communication, j’ai eu le plaisir de découvrir la PAO, le domaine du graphisme ainsi que plusieurs outils de communication. Les étudiants provenant d’une formation de communication se sont vite retrouvés avec les mêmes cours que ceux des années précédentes.
En M1, nous avons eu beaucoup de cours croisés avec 2 autres formations qui ne sont autres que l’hôtellerie et le management de la culture. C’était pour moi très intéressant : cela nous a permis de faire de nouvelles rencontres et de partager des avis différents.
En M2, nous renforçons nos connaissances. Pour ma part, jusqu’à présent, je n’ai pas appris de nouveaux éléments avec ces cours.

Mathieu : Au sein de ma formation, on apprend la gestion de patrimoine globale d’une personne, la gestion financière, l’optimisation de la transmission de son patrimoine, la préparation de sa retraite etc…

 

Quels sont vos projets suite à l’IAE ?

Camille : Pour l’instant cette question reste un peu vague. Je commence mon stage en tant que commercial terrain CHR en mars, ce qui est ma prochaine échéance pour le moment. Par conséquent, je recule un peu le moment de réflexion concernant ce que je compte faire à la fin de ce master. Cependant, j’aimerais prendre quelques mois pour voyager et, pourquoi pas, trouver un poste dans le commerce dans le secteur du CHR, si cela me plait à la suite de mon stage.

Charline : Depuis toujours, j’attends l’opportunité de partir à l’étranger. Je pense que ce moment est venu. Je souhaite donc pouvoir commencer une carrière à l’étranger, tout en restant proche de la France pour l’instant : je compte donc partir à Londres. J’attends de voir la tournure des choses, si des entretiens sont possibles ou non et je verrais ce que l’avenir est prêt à me donner !

Mathieu : C’est toujours la question à multiples réponses. Soit partir à l’étranger avec un V.I.E soit ouvrir mon entreprise et être mandataire pour l’entreprise dans laquelle je suis actuellement. Je veux voyager et je recherche une forme de liberté professionnelle donc devenir salarié de mon entreprise n’est pas une solution envisageable pour moi pour le moment.

 

Qu’avez-vous pensé du Battle des IAE ? 

Camille : Je trouve que c’est un bon moyen de mettre en avant la richesse des IAE auprès du plus grand nombre. De plus, c’est l’occasion pour nous de valoriser l’IAE de Nice.

Charline : C’était un très bon moyen de faire découvrir les IAE de France et de fédérer les étudiants autour du leur. Je pense que cet événement peut être reconduit chaque année sans soucis, c’est un bon challenge. Il n’y pas énormément d’associations au sein des IAE mais pourquoi pas, cela pourrait valoriser certaines associations qui ont beaucoup de mal à trouver des membres et donner envie aux étudiants d’en rejoindre une.

Lire plus : Découvrez le tout premier Battle des IAE !

 

Combien avez-vous obtenu au Score IAE MESSAGE ? 

Camille : J’ai passé 3 fois le SIM, mon meilleur score a été de 179, ce qui est peu dans la moyenne nationale obtenue à ce concours. Il est assez difficile selon moi et très peu représentatif des réelles capacités de chacun.

Charline : Le score IAE reste pour moi un grand mystère, il est très variable selon les sessions et bien évidemment selon les personnes. J’avais obtenu une note de 182/400 avec une moyenne sur la session de 169 points.
Malgré un score qui peut sembler faible, j’ai parfaitement réussi à intégrer l’IAE sans encombre, et j’ai obtenu parmi les meilleurs résultats de ma promo (Major de promo au 2ème semestre du M1). Pour moi ce score n’est pas relatif au niveau d’une personne.

 

Comment s’est passée votre admission à l’IAE Nice ? 

Camille : Mon admission s’est déroulée lors de la période COVID, par conséquent tout s’est réalisé à distance. La première étape a été d’envoyer mon dossier sur la plateforme e-candidat. A la suite de cela, j’ai été sélectionnée pour passer un entretien. Lors de ces derniers, j’ai fait face au directeur de master ainsi qu’un professeur de la formation, ils m’ont posé de nombreuses questions sur mon parcours, mes envies et ma motivation. Par la suite, j’ai eu le résultat de mon admission.

Charline : Admission via la plateforme interne, pas de concours à passer (le SCORE IAE n’était pas obligatoire en raison de la pandémie) seulement un entretien avec la directrice d’étude et un professeur.
Ayant postulé pour 2 formations dont une en anglais, j’ai réalisé mon premier entretien en anglais pour la formation du MIB/IT, où plusieurs aspects de la formation m’étaient demandés tels que des compétences en finance ou bien mon niveau d’anglais.
Quant à mon entretien pour la communication, j’avais déjà une promesse d’embauche, nous avons donc fait un entretien très rapide de 10 min. En raison d’un très bon entretien, je n’avais pas de doute sur mon admission.

Mathieu : J’ai été plutôt satisfait, je trouve que toutes les étapes sont cohérentes et la valeur qui est donnée à chaque étape dans l’admission est en adéquation avec ce qu’elle représente réellement dans le dossier d’un étudiant. Chacun a sa chance, le tout est d’avoir un projet clair et précis à présenter.

 

Le mot de la fin ?

“Mes deux années au sein de l’IAE de Nice clôturent à merveille mon parcours scolaire, tout particulièrement mon expérience au sein de BDE.”

“Je suis heureuse d’avoir pu intégrer l’IAE de Nice, qui restera selon moi, l’une des plus belles années de ma vie. Layens, Iaeyennes vous resterez tous dans une partie de mon cœur.”

“Sûrement une de mes meilleures années scolaires ! Très épanoui au niveau social, je ne pouvais pas espérer finir mieux mes études !”

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icn creacthon
Actu Ecoles ICN Vie en école

ICN BS propose le 1er Créacthon européen à ses étudiants

Le Créacthon constitue une formidable opportunité pour les étudiants d’ICN et leurs partenaires de Politecnico di Milano de vivre une expérience transdisciplinaire en immersion. Durant une semaine, ils ont participé à la réflexion d’espaces olfactifs suite à la commande de l’entreprise internationale Givaudan, leader mondial du parfum et des arômes. Pour les accompagner, des spécialistes de la fragrance se sont mobilisés.

 

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Qu’est-ce que le Créacthon d’ICN BS ?

Pour cette édition 2023 du Créacthon qui s’est déroulée du 16 au 20 janvier, les étudiants des 3 campus (Paris, Nancy et Berlin) ont imaginé « an immersive space with an olfactive system » avec Givaudan. 15 étudiants de Politecnico di Milano, sélectionnés parmi une cinquantaine de candidatures, ont également participé à cette expérience.

Les étudiants ont assisté durant la semaine à différentes conférences proposées par des managers de chez Givaudan, des experts, professeurs de design d’ICN et de Politecnico di Milano.

Ils ont travaillé en mode start-up, aux côtés de différents talents (ingénieurs, marketeurs, designers…) dont la mission était de créer un espace immersif, équipé d’un système de diffusion d’odeurs dernier cri, afin de maximiser l’expérience immersive. Cet espace immersif est doté d’une stratégie de communication, d’une identité visuelle graphique et architecturale et est prêt à être exploité.

 

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Quel est le programme du Créacthon d’ICN ?

Dans un premier temps, le lundi 16 janvier a eu lieu la phase d’immersion, découverte et recherche, qui s’est déroulée de la façon suivante :

  • Conférences de Frédéric WALTER, Global Creative Director chez Givaudan : « Présentation de la société Givaudan » et « L’innovation dans le parfum, la révolution de l’intelligence artificielle et l’éco conception à partir de matières 100% naturelles »
  • Lancement des ateliers

 

Le mardi 17 janvier, l’aventure s’est poursuivie. Les étudiants ont dû :

  • Identifier des entreprises, des agences de design, de communication spécialisées dans les solutions olfactives.
  • Analyse des moyens pour mieux sensibiliser, découvrir des œuvres
  • Participer à une conférence de Raffaella TROCCHIANESI, professeur en design d’intérieur à Politecnico di Milano : « Comment les expositions, les musées aujourd’hui stimulent les 5 sens des visiteurs ? Quels types d’impacts, de sensations, de sentiments ? ».

 

Ensuite, les mercredi 18 et jeudi 19 janvier, les groupes ont participé à des conférences et visites de musées et d’expositions afin de développer leur créativité. Ils ont ensuite finalisé leur travail avant de le présenter le vendredi 20 janvier.

 

Lire plus : ICN BS fait une semaine d’immersion sur l’environnement

temoignage ast entrepreneuriat
Orientation Témoignages

Passer les concours AST et devenir entrepreneur : témoignage vidéo !

Les étudiants qui souhaitent se lancer dans l’entrepreneuriat pendant leurs études sont nombreux. De plus, les écoles de commerce sont réputées pour proposer des services d’accompagnement très complets à leurs apprenants. Pour vous expliquer comment cela fonctionne, nous avons rencontré Gautier Mobuchon, diplômé d’emlyon business school après avoir intégré l’école via les concours AST !

 

Lire plus : Interview de Romain Serre : concours TREMPLIN, KEDGE, entrepreneuriat…

 

Découvrez le parcours de Gautier et son entreprise, l’Atelier Flamel !

Pendant ses études, Gautier s’est orienté vers l’entrepreneuriat, en créant l’Atelier Flamel, une startup dans le domaine de la FoodTech. Au programme de la vidéo :

  • Présentation de Gautier
  • Qu’est-ce que l’Atelier Flamel ?
  • L’évènement qui lui a fait devenir entrepreneur
  • La façon dont l’école de commerce aide à l’entrepreneuriat et soutient les porteurs de projet
  • Les qualités importantes pour travailler dans la FoodTech
  • Une journée-type de Gautier en tant qu’entrepreneur
  • Les différentes perspectives d’évolution pour lui et sa startup

 

Alors, si toi aussi tu souhaites devenir entrepreneur après avoir passé les concours AST et intégré l’école de tes rêves, viens visionner le témoignage de Gautier !

passer amf en candidat libre
Orientation Témoignages

Témoignage : passer l’AMF en candidat libre et les méthodes de travail

L’AMF (Autorité des Marchés Financiers) est une certification qui est demandée aux professionnels qui souhaitent travailler dans la finance. Pour mieux comprendre comment la passer et, surtout, comment travailler et réviser, nous avons rencontré une étudiante qui a réussi à obtenir la certification en candidat libre. Elle nous présente ses méthodes de travail et tous ses conseils pour réussir.

 

Lire plus : Qu’est-ce que la certification AMF et comment l’obtenir ?

 

Peux-tu te présenter, nous parler de ton parcours ?

Je suis actuellement en année de césure à TBS Education. Depuis mon année de M1, je pense m’orienter vers le domaine de l’audit et de la finance. Après avoir suivi une pré-spécialisation finance à TBS, j’ai passé un semestre en Angleterre dans une université partenaire dans laquelle j’ai décidé de me consacrer uniquement à des cours de finance. J’en ai profité pour passer des certifications complémentaires, ce qui m’a permis de réaliser que le monde de la finance est très vaste et que l’on ne peut jamais avoir trop de connaissances.

 

Tu as décidé de passer l’AMF en candidat libre. Pourquoi avoir fait ce choix ?

Suite à mon année de M1 et aux cours que j’ai suivis à TBS et en Angleterre, j’ai commencé à rechercher mon premier stage de césure en finance. Très vite, en préparant mes entretiens, j’ai compris que ce que l’on apprenait en cours n’était pas suffisant. Ça ne représentait même pas un dixième de ce qu’il faut savoir pour les entretiens. J’ai donc décidé de me former par moi-même.

Pour ce faire, je me suis dit que l’AMF me permettrait de développer des connaissances précises et surtout une culture financière et réglementaire très générale.

 

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Peux-tu nous dire ce qu’est l’AMF et la façon dont la certification s’obtient ?

L’AMF est un examen financier qui est demandé pour travailler dans la finance. Il est vraiment très orienté réglementation et concerne les règles des marchés financiers. C’est donc un examen qui est exigé, notamment en banques. En général, il est demandé aux personnes qui rejoignent les banques de passer l’AMF dans les mois qui suivent. De mon côté, j’ai choisi de la passer en candidat libre, notamment dans l’objectif de montrer ma motivation sur mon CV et lors des entretiens.

L’examen est composé de 2 parties : un dossier qui traite de l’environnement règlementaire et déontologique et un deuxième qui concerne les connaissances techniques des candidats. Pour valider l’AMF, il faut obtenir plus de 80% de bonnes réponses à ces deux dossiers.

 

Comment t’es-tu préparée pour l’examen de l’AMF ?

Après mon inscription, j’ai d’abord commencé à réviser avec le livre (Abrégé des Marchés Financiers). J’ai rapidement laissé tomber : le livre est indigeste et ne permet pas, à mon sens, de retenir les informations. J’ai donc décidé de faire les 2 000 et quelques questions de la base de données de l’AMF. Réparties dans les différentes parties de l’examen, cela m’a permis d’aborder l’ensemble des questions et thèmes traités. A chaque fois que l’on répond à un QCM, la bonne réponse s’affiche ainsi que la correction. Cela m’a permis d’apprendre des choses et, surtout, de voir la cohérence dans l’ensemble de la règlementation française et européenne en termes de finance. Cette étape m’a pris environ 1 mois : je faisais environ un chapitre par jour, soit une centaine de question quotidiennement.

Une fois la totalité des chapitres et questions abordée, j’ai commencé à travailler des examens blancs. J’ai eu 14,5 au tout premier examen blanc que j’ai fait. J’en ai ensuite réalisé un par jour pendant 2 mois. Je dirais qu’au bout d’un mois, j’atteignais le 16 dans chaque dossier et j’étais donc prête à passer l’AMF. Cependant, j’avais sélectionné la date d’examen la plus lointaine possible pour être sûre d’avoir le temps de me préparer. J’ai donc continué à m’entraîner et à faire une session par jour jusqu’à la date d’examen.

 

Comment se passe la session d’examen ?

Le jour de l’examen se sélectionne au moment de l’inscription. Environ une semaine avant, j’ai reçu une convocation par mail. Le jour de l’examen, il faut venir avec sa convocation imprimée, un papier d’identité et son propre ordinateur. On se connecte sur sa session et on rentre un code qui est affiché dans la salle pour se connecter à l’examen officiel.

La vraie session se passe donc exactement comme les entraînements. On a deux heures pour répondre aux 120 questions, on peut revenir en arrière, passer, etc. Environ 2 heures après la fin de l’examen, j’ai eu accès à mon test corrigé et je savais donc que j’avais obtenu plus de 80% aux deux dossiers. Quelques jours après, je suis allée sur mon compte de l’esbanque et j’y ai trouvé ma certification AMF.

 

Quels conseils donnerais-tu aux étudiants qui veulent passer l’AMF ?

Pour moi, l’AMF est une question d’entraînement et de régularité. Cela m’a beaucoup fait penser au code : il faut s’entraîner tous les jours afin d’assimiler les questions et retenir les réponses. En passant une ou deux semaines sans travailler, on revient et les notes sont inférieures à 80%.

Le meilleur conseil que je puisse donner (et qui a fonctionné dans mon cas), c’est de s’entraîner tous les jours, et notamment la dernière semaine avant l’examen, ne pas hésitez à faire plusieurs examens blancs par jour.

 

Lire plus : Où sont les meilleurs Masters en finance selon le classement QS 2023 ?

feel good campus esc clermont
Actu Ecoles ESC Clermont Vie en école

« Feel Good Campus » le nouveau dispositif de l’ESC Clermont BS pour le bien-être des étudiants !

L’ESC Clermont BS annonce la mise en place du dispositif « Feel Good Campus » pour améliorer le bien-être de ses étudiants et contribuer à leur épanouissement académique et professionnel. Première étape : présenter le concept aux étudiants et organiser une soirée de lancement sur le campus le 7 février 2023.

 

Lire plus : La RSE au coeur de l’ADN de l’ESC Clermont BS

 

Renforcer la santé physique de ses étudiants avec « Feel Good Campus »

En phase avec ses valeurs sportives et les engagements pris dans son plan stratégique REVEAL 2027, l’ESC Clermont BS fait le choix de placer le bien-être de ses étudiants au cœur du campus et lance donc le dispositif « Feel Good Campus », en partenariat avec Collecty’form.

Ce projet de l’ESC Clermont BS comporte deux objectifs principaux :

  • Promouvoir l’importance du bien-être à l’Ecole, au travers de différents événements qui auront lieu au cours de l’année scolaire.
  • Proposer des ateliers sportifs sur le campus, animés par des étudiants ambassadeurs, initiés aux méthodes d’activité physique et mentale, par Collecty’Form.

 

Les étudiants-ambassadeurs de l’Ecole mettront ainsi en place sur le campus des ateliers de disciplines sportives (réveil musculaire, mobilité, stretching, renforcement musculaire, cardio) mais aussi de préparation mentale (respirations, fixations d’objectifs, relaxation, dynamisation) pour apprendre à mieux gérer son stress, se motiver, définir et préparer des objectifs.

 

Lire plus : REVEAL 2027 : tout savoir sur le plan stratégique de l’ESC Clermont

 

Une école au service du bien-être de ses étudiants

Pour la mise en place de cette opération, l’ESC Clermont Business School a souhaité valoriser ses propres talents en faisant appel aux anciens élèves et incubés de l’Ecole.

« A travers le dispositif « Feel Good Campus » c’est tout l’écosystème de l’ESC Clermont BS qui se mobilise pour le bien-être de nos étudiants : étudiants, diplômés, incubés, enseignants, fondation… En effet, la formation des 6 étudiants ambassadeurs a été réalisée par nos anciens incubés Collecty’Form et leur formation ainsi que l’achat du matériel sportif ont été financés par la Fondation Groupe ESC » annoncent Daniela Borodak et Catherine Dos Santos.

 

L’ESC Clermont Business School est déjà reconnue pour l’importance qu’elle porte au bien-être étudiant. L’Ecole est 5ème du classement HappyIndexAtSchool 2022 qui récompense les écoles offrant la meilleure expérience étudiante et qualité de vie étudiante.

 

Lire plus : L’ESC Clermont, une école au service de son territoire

Actu Ecoles AST KEDGE Vie en école

KEDGE Business School inaugure son nouveau campus parisien

KEGDE Business School a inauguré en grande pompe son nouveau campus parisien, en présence de Carole Grandjean, Ministre déléguée chargée de l’Enseignement et de la Formation professionnels. Nouveau non, mais relifté et agrandi ce nouveau campus fait la part belle à l’expérience étudiante et au développement des expertises de l’école.

 

Lire plus : KEDGE renouvelle la qualification EESPIG pour 5 ans !

 

Le nouveau campus parisien de KEDGE en quelques chiffres

A proximité de la Gare d’Austerlitz et a fortiori de la Gare de Lyon, à quelques encablures de la Bibliothèque nationale de France (Bibliothèque François Mitterrand) et au pied du centre commercial Bercy Village se trouve le campus parisien de KEDGE. Après des travaux, le campus passe de 3000 à 6 400 m2. Il a vocation à permettre à 2 000 étudiants de rejoindre le campus d’ici 2025, contre 1 100 étudiants actuellement. Le campus compte désormais entre autres une médiathèque, un incubateur, un espace dédié à la restauration des étudiants avec des frigos connectés et 32 salles de cours. A noter que 250 logements sont disponibles pour les étudiants du campus au sein d’une résidence à Ivry.

 

Un campus complémentaire de ceux de Bordeaux et Marseille

KEDGE Business school fait partie de ces écoles qui ont indéniablement un fort ancrage territorial. Pour rappel, si le groupe KEDGE est né en 2012, il est pour autant le fruit de la fusion de BEM à Bordeaux et d’Euromed Management à Marseille. Lesquelles écoles sont nées en région, il y a près de 150 ans. Toutefois détenir un campus parisien demeure un moyen d’attirer les étudiants internationaux. Et KEDGE prône la diversité de ses étudiants dont près de 23% sont étrangers. La direction a également fait le constat que près de la moitié de ses étudiants en BBA sont parisiens et que soit certains ne souhaitent pas partir, soit leurs familles ne le souhaitent pas voire ne peuvent pas les laisser partir. C’est enfin pour KEDGE Business School le moyen de développer son offre de formation continue et de renforcer son lien avec l’entrepreneuriat, à travers notamment son incubateur.

 

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Campus de Paris : KEDGE accueillera bientôt une école entrepreneuriale

L’école est résolument tournée vers l’entreprenariat et en particulier son campus parisien. Lequel compte déjà trois programmes d’accompagnement : le Business Accelerator qui accompagne les entrepreneurs dans le développement et le financement de leur croissance. La Business Nursery qui propose d’incuber des start-up et le Business Creator qui intervient sous format digital dans les premières étapes de la création. Une école entrepreneuriale viendra rapidement enrichir l’offre de formation. Déjà présente sur les campus de Marseille et de Bordeaux, cette formation en 3 ans à l’ambition d’« apprendre à entreprendre ».

 

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KEDGE : Un campus parisien qui se distingue par ses « Schools »

Combien d’écoles peuvent se targuer de proposer, à l’occasion de l’inauguration de leur campus, une dégustation de vins ou encore un concert live ? Elles sont certainement peu nombreuses, mais avec certitude KEDGE est l’une d’entre elles. En effet, l’école a implanté sur son campus parisien la KEDGE Wine School et la KEDGE Arts School. Ovnis dans l’écosystème, ces deux formations enrichissent et contribuent au rayonnement du campus parisien de l’école bordelaise. La première a vocation à former les futurs managers du secteur des vins et spiritueux, de l’hôtellerie, de la restauration et de la sommellerie. La seconde s’ingénie à former ceux des arts, de la culture et des industries créatives. Le campus bénéficie de l’existence de ces deux « schools » et s’anime à travers des expositions temporaires telle que No(s) limite(s), conçue par l’artiste François Mangeol.

 

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Actu Ecoles Vie en école

La Web School Factory crée une bourse Energie pour ses étudiants !

Préoccupée par la précarité croissante chez les étudiants, la WEB SCHOOL FACTORY a annoncé la mise en place d’une Bourse Énergie pour venir en aide à ses élèves. Estimant à 240€ le surplus de la facture annuelle énergétique de ses élèves vivant hors du foyer parental, l’école et la Fondation ont fixé à 120€ le montant de la Bourse Énergie qu’elles vont remettre à 100 étudiants à partir de la mi-février.

 

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Une crise énergétique de plus en plus ressentie par les étudiants

La précarité étudiante touche de plus en plus de jeunes depuis le début de la crise sanitaire. Renforcée par l’inflation généralisée, l’augmentation des charges énergétiques et la hausse sans précédent du prix des denrées alimentaires, le budget des étudiants ne cesse d’être réduit. Les étudiants sont donc de plus en plus nombreux à se retrouver en situation de précarité financière.

Des organismes tels que l’Observatoire de la vie étudiante, l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE), le Centre National des Œuvres Universitaires et Scolaires (CNOUS) et bien d’autres sont unanimes et multiplient les alertes. Ils s’alarment de cette précarité énergétique qui touche les jeunes en cette période hivernale en tâchant de poursuivre leur formation. 

 

Une aide de 120€ pour les étudiants en situation de précarité

Préoccupée par cette situation, la direction de la WEB SCHOOL FACTORY s’est penchée avec la Fondation FACTORY (dont les entreprises partenaires sont les contributeurs) sur cette situation difficile, pour déterminer comment venir en aide à ses élèves. 

Leur analyse conjointe a établi à 240€ l’augmentation moyenne des dépenses énergétiques annuelles d’un(e) étudiant hors foyer parental. Une dépense considérable en plus de celles liées au loyer et à l’alimentation.

« Notre école et notre Fondation attribuent des Bourses au Mérite depuis plus de 10 ans aux étudiants, et nous avons jugé indispensable de venir aussi en aide à ceux qui sont particulièrement touchés par cette précarité énergétique. Pour cela, nous mettons en place en urgence une Bourse Énergie d’une valeur de 120€ qui va être attribuée dans quelques semaines à 100 de nos élèves », déclare Anne Lalou, Directrice de la WEB SCHOOL FACTORY.

 

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temoignage chef de produit
Grenoble EM Métiers Témoignages

Découvrez le parcours de Lisa, chef de produit chez Lidl et diplômée de GEM !

Nous avons rencontré Lisa Boxberger, diplômée de GEM après avoir passé les concours AST. Elle est aujourd’hui chef de produit dans la grande distribution et est donc chargée de l’ensemble de la gestion d’un produit, de son analyse de marché et benchmark, jusqu’à l’étude du comportement consommateurs vis-à-vis du produit.

Nous l’avons interviewé pour vous présenter son parcours et tous ses conseils !

 

Lire plus : Les entreprises qui paient le mieux les jeunes diplômés

 

Tous les conseils de Lisa pour évoluer dans un grand groupe

Après avoir été diplômée d’un Bachelor Responsable Marketing & Commercial, Lisa a intégré le PGE de Grenoble EM. Elle nous parle notamment de sa préparation au concours Passerelle 2 afin d’intégrer une des meilleures écoles de management.

Au programme de la vidéo :

  • La présentation de Lisa
  • Son quotidien en tant que chef de produit
  • Le processus de recrutement chez Lidl
  • Les qualités importantes pour devenir chef de produit
  • Une journée type d’un chef de produit
  • Ses perspectives d’évolution
  • Ses conseils pour postuler chez Lidl

 

Alors, si tu souhaites intégrer un grand groupe après ta graduation, découvre tous les conseils de Lisa pour y parvenir !

aymeric marmorat bachelor act
Actu Ecoles ESSEC Témoignages Universités

Le Bachelor ACT de l’ESSEC et CY Université : rencontre avec le directeur du programme

Nous avons rencontré Aymeric Marmorat, entrepreneur social et serial entrepreneur depuis ses études. Il est aujourd’hui directeur du Bachelor Act, un programme en 3 ans qui permet d’être double-diplômé de l’ESSEC et de CY Cergy Paris Université. Ce dernier a ouvert ses portes en septembre 2022 pour une promotion de 31 élèves.

Nous vous présentons le parcours d’Aymeric et ce qui l’a amené à créer le Bachelor Act.

 

Lire plus : Tout savoir sur le Bachelor Act de l’ESSEC et de CY Cergy Paris Université

 

Bonjour Aymeric, peux-tu te présenter, nous parler de ton parcours ?

Après ma terminale, je cherchais une formation courte et c’est vers le BTS MUC (Management des Unités Commerciales) que mon choix s’est tourné. J’ai adoré cette formation car elle était très pratique et tournée vers le monde de l’entreprise. Elle donnait aussi une certaine liberté dans les sujets à étudier et les expériences professionnelles. C’est aussi en BTS que j’ai monté mon tout premier projet et c’est cette formation qui m’a donné envie de poursuivre mes études. J’ai alors rejoint l’EM Normandie sur le campus du Havre. J’ai commencé à m’interroger sur le sens de ma formation et sur la nécessité de remettre l’économie au service des enjeux sociaux et environnementaux. J’ai alors créé avec un ami une association autour du développement durable dans laquelle je me suis beaucoup investi en parallèle à mes études. Grâce à une rencontre, j’ai découvert l’entrepreneuriat social que je n’ai plus quitté.

 

En tant que serial entrepreneur, peux-tu nous présenter rapidement les différentes entreprises que tu as fondées ?

Un peu avant de terminer mes études, je me suis demandé comment les entreprises pouvaient changer le monde. Faut-il les transformer de l’intérieur ou créer de nouvelles organisations qui intègrent dès leur création une raison d’être, un modèle économique viable et des impacts sociaux et environnementaux significatifs ?

C’est vers cette 2ème direction que j’ai commencé à me diriger en co-fondant Entrepreneurs Sans Frontières en 2006, un incubateur dont l’objectif est de former et d’accompagner les jeunes entrepreneurs sociaux dans la création de leur entreprise sociale. J’ai également co-fondé en parallèle La Ruche, le premier espace de coworking à Paris dédié aux entrepreneurs sociaux. A travers ces initiatives, j’ai pu rencontrer des femmes et des hommes exceptionnels qui ont à cœur l’intérêt général et qui à travers la création de leurs entreprises apportent des solutions concrètes aux grands enjeux contemporains. J’ai également côtoyé des pionniers de l’entrepreneuriat social et la nécessité de décloisonner les dimensions économiques, sociales et environnementales.

 

Mais les entrepreneurs sociaux ne sont pas assez nombreux et nous voyons bien qu’aujourd’hui toutes les organisations doivent se transformer de l’intérieur pour répondre aux enjeux de notre siècle. Cela nécessite des compétences. C’est alors qu’en 2010, j’ai rejoint en tant que Directeur, Enactus France pour former des milliers de jeunes à travers la France et développer leurs compétences pour agir au service d’un monde plus juste, inclusif et durable. Le principe est simple : accompagner les jeunes à s’engager dans leur lycée, dans leur école et dans leur université pour les causes qui leur tiennent à cœur. En s’engageant et en montant leur projet en équipe, ils développent leurs compétences et prennent confiance en leur capacité à changer le monde.

 

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Tu es donc très engagé pour les enjeux sociaux, écologiques et environnementaux. D’où te vient cette volonté de participer à la création d’une société plus responsable ?

Je pense que c’est avant tout générationnel. J’ai eu 40 ans cette année, je fais donc partie de la  Génération Y dont je me reconnais bien dans une partie de la définition, notamment sur la quête de sens. Ensuite, c’est aussi très lié à mon contexte familial : j’ai grandi dans des réalités sociales très différentes, ce qui a développé ma sensibilité et mon sentiment de justice. Enfin, je dirai que c’est lié à mes expériences : à travers les projets que j’ai menés pendant mes études, j’ai rapidement compris que je pouvais utiliser mes compétences et ma capacité d’agir pour apporter des réponses aux problèmes de société.

 

Aujourd’hui, tu es Directeur du Bachelor ACT de l’ESSEC et CY Cergy Paris Université. Peux-tu nous parler de la genèse du programme ?

Le Bachelor ACT est né du double-constat qu’il n’existait pas de formation pluridisciplinaire et professionnalisante sur les transitions accessible après le bac, tandis qu’une forte demande commence à s’exprimer du côté des recruteurs. A elle-seule, la transition écologique permettra la création nette d’environ un million d’emplois à l’horizon 2050, selon les estimations de l’Ademe.

Avec les équipes de l’ESSEC et de CY, nous avons imaginé ce diplôme pour permettre à des bacheliers, déjà investis dans des causes, de maximiser leur impact sur la société. L’objectif est de leur permettre de maîtriser la conduite de projets au service des transitions pour pouvoir ensuite agir en tant que professionnels dans les entreprises, les collectivités et les associations.

 

La première promotion du Bachelor ACT a fait sa rentrée cette année, qu’est-ce-qui caractérise les 31 élèves de cette promotion ?

La première chose qui caractérise cette promotion, c’est la motivation. La plupart des étudiants étaient engagés pour une ou plusieurs causes avant leur entrée dans la formation. Certains sont venus avec une sensibilité plus environnementale, d’autres plus sociale. Après 4 mois, tous s’accordent à dire que l’une et l’autre sont liées et que le changement ne peut-être qu’être systémique.

Au-delà de l’engagement qui est un véritable point commun, la promotion est très diverse. Comme nous sommes ouverts à toutes les options, nous avons des étudiants qui ont aussi bien des profils scientifique, économique ou littéraire. 30% des étudiants étaient en réorientation après une première année de licence. Avec 40% d’étudiant boursiers grâce aux exonérations des frais de scolarité, nous avons aussi une grande mixité sociale ce qui permet d’avoir un collectif au plus proche de la diversité de la société française.

 

Lire plus : Entrepreneuriat, Impact et nouveaux partenariats : l’ESSEC s’engage au service de la société

 

Les jeunes sont très sensibles aux enjeux climatiques et écologiques, que peut leur apporter le Bachelor ACT ?

La sensibilité aux enjeux écologiques et sociaux ne suffit plus. Il s’agit de transformer en profondeur nos sociétés, nos modes de vie, nos manières de produire et de consommer mais aussi de vivre ensemble.

Pour permettre aux jeunes d’acquérir les compétences essentielles aux acteurs du changement, nous avons organisé la formation autours de 3 grands piliers :

  • Analyser un système complexe à l’heure de l’anthropocène en comprenant les grands enjeux des transitions écologique, sociale et citoyenne tout en développant son esprit critique
  • Agir pour les transitions en apprenant à concevoir et piloter un projet, à collaborer et décider dans un collectif
  • Trouver sa voie en apprenant à apprendre, à se connaitre et en construisant ses projets d’avenir

 

C’est ainsi que la pluridisciplinarité prend tout son sens avec :

  • Des sciences naturelles pour comprendre le système terre et les liens entre le climat, l’activité humaine et le vivant 
  • Des sciences sociales pour comprendre les transitions et agir à l’échelle des sociétés et des organisations
  • Des sciences de gestion pour apprendre à agir dans un environnement professionnel

 

Comment vois-tu l’avenir du Bachelor ACT ?

Nous recevons de plus en plus de demandes d’étudiants et de parents très intéressés par la formation. L’enjeu pour l’avenir sera d’accueillir davantage d’étudiants tout en gardant ce qui fait notre particularité : les modalités pédagogiques, l’accompagnement individuel et la place donnée au collectif.

Nous souhaitons également élargir nos partenariats. A l’heure actuelle, nous avons été rejoints par Engie, Accor et la Fondation Schneider Electrique qui soutiennent la formation en proposant des stages et des cas concrets. Nous avons également noué des partenariats forts avec le Learning Planet Institute et le Campus de la Transitions qui interviennent dans les enseignements.

Enfin, nous réfléchissons également à créer notre propre campus qui puisse accueillir et incarner la formation tant d’un point de vue transition écologique que d’un point de vue innovation pédagogique.

 

Quels sont les débouchés après le Bachelor ACT ?

A l’issue du Bachelor ACT, les étudiants pourront soit poursuivre en Master (management, entrepreneuriat, sciences politiques, développement durable, etc.) soit entrer dans le monde professionnel.

Les étudiants pourront également exercer un large panel de métiers dans des secteurs comme : 

– Le secteur associatif et de l’économie sociale et solidaire (ESS)

– Les Institutions & collectivités nationales

– Le département DD/RSE des entreprises

Ils pourront aussi, s’ils le souhaitent, devenir entrepreneur social ou exercer l’un des nombreux métiers de demain… qu’on ne connaît pas encore !

 

Un dernier mot pour tous les jeunes soucieux du futur de la planète ?

Pour finir, je vous partage la citation de Margaret Mead, une anthropologue américaine que j’aime beaucoup : « ne doutez jamais qu’un petit groupe d’hommes et de femmes conscients et engagés puisse changer le monde. C’est même de cette manière que cela s’est toujours produit ». Si vous aussi vous avez assez de folie et de courage pour vouloir changer le monde, venez nous rencontrer lors d’un webinaire ou d’une journée porte ouverte dont vous retrouverez les dates sur www.bacheloract.fr 

 

Lire plus : Témoignage : Intégrer l’ESSEC après l’Université