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Actu Ecoles Universités

CY Cergy Paris Université et le Learning Planet Institute développent l’Unité de Recherche “Learning Transitions” (UR LT)

Portée conjointement par CY Cergy Paris Université et le Learning Planet Institute, l’Unité de Recherche Learning Transitions (UR LT) incarne depuis juillet 2023 le volet recherche de la collaboration établie quelques mois plus tôt entre les deux partenaires.

Hébergée au sein du Learning Planet Institute, l’UR LT a pour objectif d’élaborer des théories, méthodes et outils scientifiques, fondés sur l’interdisciplinarité, les sciences participatives, l’intelligence collective et l’Intelligence Artificielle (IA), en vue de développer des approches systémiques aux problèmes complexes que génèrent les transitions planétaires. L’UR LT viendra renforcer une offre scientifique très dynamique sur ces questions de transition au sein de l’université CY Cergy Paris Université.

 

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Les principaux axes des travaux de recherche de l’UR LT

Les travaux de recherche de l’UR LT se basent sur : 

  • L’analyse systémique des transitions

L’analyse systémique des transitions adopte une approche interdisciplinaire des transitions pour développer des cadres d’analyse systémique et faciliter les transitions choisies. On pourra, par exemple, étudier la transition de l’éducation dans son ensemble, en termes de dynamique et d’interactions, afin d’identifier des leviers d’action et de transformation. De même, on pourra étudier les transitions sociales ou encore technologiques. 

  • L’ingénierie des transitions des individus 

L’ingénierie des transitions des individus vise à les soutenir dans leur transition vers le statut de “Planetizens” (citoyens de la planète), aptes à prendre soin d’eux-mêmes, des autres et de la planète. Les thèmes d’étude concernent, notamment, les sciences participatives, les trajectoires d’apprentissage et la transformation des émotions en actions. 

  • L’ingénierie des transitions des communautés et organisations 

L’ingénierie des transitions des communautés et organisations consiste à s’appuyer sur  l’intelligence collective et les sciences participatives des communautés et organisations, afin  d’identifier les meilleures méthodes permettant l’évolution de différents types  d’organisations, en particulier les universités, les écoles et autres types d’organisations  oeuvrant pour l’intérêt général. 

 

  • L’ingénierie des transitions induites et/ou facilitées par l’Intelligence Artificielle

Enfin, l’ingénierie des transitions induites et/ou facilitées par l’Intelligence Artificielle (IA)  s’attèle à élaborer des théories, méthodes et outils pour la collaboration entre l’Homme et la machine, afin d’aborder les transitions. Les sujets d’intérêt incluent la gouvernance  (éthique de l’IA, régulation, recherche et innovation ouvertes et responsables), l’intelligence  collective augmentée par l’IA, ainsi que les créations, transmissions et évaluations des  connaissances à l’ère de l’IA. 

 

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Le large réseau de chercheurs de l’UR LT

L’UR LT accueille deux types de chercheurs

  • Des chercheurs membres, présents sur site sur une période déterminée pour collaborer dans un cadre interdisciplinaire avec d’autres chercheurs partageant les mêmes valeurs autour des transitions
  • Des chercheurs associés ayant un intérêt scientifique à être connectés à l’Unité de Recherche pour le prototypage de concepts, le développement de projets communs et le contact avec la communauté.

Avec un accès à un réseau de chercheurs et, plus globalement, à une communauté  nationale et internationale partageant les mêmes objectifs relatifs aux défis des transitions  (notamment via l’Alliance internationale créée par l’UNESCO et le Learning Planet  Institute), les chercheurs accueillis au sein de l’UR LT bénéficient également des ressources de son campus : Fablab, amphithéâtre, learning center, des événements scientifiques organisés par l’Institut ainsi que d’un vivier d’étudiants “game changers” du Learning Planet Institute auxquels les chercheurs peuvent notamment dispenser des cours ou proposer des  stages, parmi d’autres avantages. 

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Actu Ecoles Universités

Apprendre et se cultiver tout au long de la vie avec l’Université tous âges (UTA) !

L’Université tous âges (UTA), service de l’Université Lumière Lyon 2, dévoile ses nouveaux cycles de conférences et  ouvre ses inscriptions. Dès janvier 2024, les auditeur/trices pourront profiter d’une programmation de qualité, en  prise avec l’actualité, avec des enseignant.es spécialistes dans leur domaine.

 

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Le programme de l’UTA pour cette année scolaire

Pour l’année 2023/2024, le programme d’enseignement de l’UTA s’articule autour de trois axes thématiques :

  • L’art pour décrypter le monde
  • Les humanités pour comprendre notre société
  • L’exploration du passé pour éclairer notre présent

Julia Bonaccorsi, vice-présidente Sciences et société, détaille : « Cette année, un programme riche de 23 cycles de 6 conférences propose autant d’ouvertures pour penser le monde d’aujourd’hui par de multiples pas de côté, qu’ils soient historiques, géographiques, culturels, artistiques… Toujours fondée sur les recherches les plus récentes et une variété disciplinaire, la programmation se renouvelle et offre des prises inédites sur des sujets sociaux comme la famille, le crime, les religions, la ville ou l’alimentation. »

 

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L’UTA, un acteur engagé pour la diffusion du savoir à tout âge

Depuis près de 50 ans, l’UTA s’inscrit au cœur des missions de l’Université Lumière Lyon 2 en s’attachant à diffuser le plus largement possible les savoirs universitaires à des tarifs très abordables. Ces cycles de conférences sont destinés aux adultes souhaitant apprendre, découvrir et échanger, quel que soit leur niveau et sans condition de diplôme.

Ainsi, les auditeur/trices pourront par exemple découvrir ou redécouvrir l’œuvre d’Annie Ernaux, prix Nobel de la  littérature, explorer la représentation des robots et de l’intelligence artificielle au cinéma, retracer l’histoire du monde arabe depuis le XIXe jusqu’au milieu du XXe siècle ou encore percer les mystères des grandes affaires criminelles à travers le prisme clinique, juridique et social. 

Orientation Universités

Université de Montréal : les étudiants qui veulent partir étudier à l’étranger peuvent encore candidater

Intégrer l’Université de Montréal en janvier 2024, c’est possible ! 

En effet, l’Université de Montréal (UdeM) propose une rentrée d’hiver, avec début des cours le 8 janvier 2024. Une opportunité intéressante pour ceux qui n’ont pas reçu d’affectation satisfaisante via Parcoursup ou qui veulent faire leurs études supérieures à l’étranger sans attendre la rentrée de septembre 2024.

Les inscriptions pour cette rentrée d’hiver sont ouvertes depuis le 15 août 2023 et seront closes le 1er novembre. Il est
vivement recommandé de faire sa demande auprès de l’UdeM dans les meilleurs délais car les formalités administratives pour effectuer ses études à Montréal prennent plusieurs mois (Certificat d’Acceptation du Québec et Permis d’études).

 

Université de Montréal : Cursus du post-bac au doctorat

L’Université de Montréal propose plus de 500 programmes de formation pour cette rentrée d’hiver, dont 49 spécialités de « Baccalauréat », l’équivalent québécois de notre Licence : biologie, linguistique, communication et politique, géographie environnementale ou encore sciences infirmières. Ces cursus durent en général 3 ans et la plupart sont accessibles aux titulaires d’un Bac français général ou technologique. Pour vérifier que les options choisies au bac sont compatibles avec les prérequis de l’UdeM, il suffit de se rendre sur Bac à Bac.

 

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Pour Michèle GLEMAUD, Directrice générale, Service de l’admission et du recrutement à l’UdeM« Nos équipes étudient chaque demande d’admission et elles font le maximum pour apporter une réponse rapide à chaque candidat, afin de leur donner le temps nécessaire pour remplir les formalités d’immigration. Chaque année, nous accueillons plus de 1500 jeunes étudiants français sur nos campus, attirés par la diversité de nos enseignements, la performance de nos équipements et bien entendu par la qualité de vie qu’offre Montréal : tous les ingrédients d’une expérience universitaire réussie sont réunis ! Et bien évidemment, pour cette rentrée d’hiver, nous accueillons aussi les étudiants français en Master et en Doctorat. »

Rappelons qu’à l’Université de Montréal, les étudiants français représentent  1/3 des 10.000 étudiants internationaux présents sur le campus (40.000 étudiants au total).

 

Les avantages d’étudier à Montréal

Les accords entre la France et le Québec prévoient pour les étudiants français des frais de scolarité réduits par rapport à ce que payent les étudiants venus d’autres pays. Montréal est régulièrement classée meilleure ville étudiante au monde, comme récemment par Helpfulprofessor.com, un site web international qui a évalué l’expérience étudiante globale de plus de 1 300 universités

Montréal offre notamment une excellente qualité de vie : les loyers sont bien plus abordables que dans d’autres grandes villes canadiennes. Il est aussi important de noter que le permis d’études accordé aux jeunes étudiants français inclut aussi un permis de travail, qui leur permet de se créer des revenus supplémentaires sur place. Pour les Français qui voudront travailler au Québec une fois diplômés, toutes les démarches administratives seront simplifiées.

 

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Actu Ecoles Universités

L’Université Gustave Eiffel renforce sa stratégie et vise la sortie d’expérimentation en 2025 !

Lors de sa récente rencontre de rentrée avec la presse, l’Université Gustave Eiffel a dressé un bilan des trois dernières années écoulées depuis son inauguration, tout en partageant ses perspectives. L’établissement annonce aujourd’hui son intention d’entamer dès cet automne le processus de sortie de son statut expérimental, visant ainsi à consolider et pérenniser un établissement incontestablement visible et plus que jamais essentiel face aux enjeux auxquels doivent faire face les villes et les territoires, dans un contexte néanmoins marqué par la succession des hausses de charges supportées par les universités.

Établissement expérimental créé en 2020, l’Université Gustave Eiffel rassemble pour la première fois en France le triptyque université / écoles / organisme de recherche. Elle porte l’ambition d’être en prise directe avec les préoccupations et les enjeux de notre société, tels que les transitions, en particulier des villes, des territoires et des mobilités.

 

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Depuis sa création l’université a ainsi mis en œuvre des projets phares dans le cadre du Plan d’Investissement d’Avenir (PIA) puis de France 2030; parmi eux, des projets transformants de long-terme, tant dans le domaine de la recherche (projet Sci-Ty, lauréat de l’appel à projet pré-maturation-maturation ou CityFab, lauréat de l’appel à projet ExcellencES de France 2030) que de la formation initiale (AVID : apprendre pour la ville durable) et de la formation continue (FORCOVD : formation continue pour la ville durable), qui viennent prolonger le projet initial de l’I-Site FUTURE. Ancrée dans tout l’Hexagone grâce à ses 7 campus de formation et de recherche, l’Université Gustave Eiffel joue aujourd’hui un rôle d’opérateur national sur le sujet des villes durables et des mobilités. Cette reconnaissance lui vaut d’être une des seules universités françaises mobilisées pour piloter deux PEPR (programmes et équipements prioritaires de recherche) : Ville Durable et Bâtiments Innovants, lancé le 24 mai 2023, et Digitalisation et décarbonation des mobilités dont le lancement aura lieu avant la fin d’année 2023.

 

L’Université Gustave Eiffel, n°1 français en science et technologie des transports 

L’Université Gustave Eiffel se distingue également en figurant dans le classement de Shangaï sur 11 thématiques, s’érigeant en n°1 français en science et technologie des transports ainsi qu’en génie civil.

« Nous ne pouvons que nous réjouir de cette visibilité. Elles renforcent notre conviction que l’Université Gustave Eiffel répond à un véritable besoin, aussi bien pour les territoires, les collectivités, le monde économique, les citoyens, que pour les étudiants. Le travail de consolidation va se poursuivre mais nous parvenons à maturité et nous faisons partie des universités qui atteignent un taux de remplissage très élevé. C’est pourquoi l’université entamera le processus de sortie de phase expérimentale dès cet automne, avec un horizon au 1er janvier 2025 » déclare Gilles Roussel, président de l’Université Gustave Eiffel.

« Nous sommes déterminés à poursuivre le travail engagé et à aller encore plus loin dans l’accompagnement des transitions pour faire face aux enjeux, en développant nos ressources pédagogiques, ou en nous appuyant sur les travaux de recherche menés au sein de notre université. Nous devons continuer d’encourager le dialogue entre notre communauté enseignante et de recherche et nos partenaires, nous montrer innovants dans l’expérimentation, favoriser la mobilité des étudiants entre nos différents campus pour leur permettre d’avoir accès aux ressources scientifiques remarquables offertes par notre établissement. », témoigne Corinne Blanquart, première vice-présidente de l’Université Gustave Eiffel.

 

Université Gustave Eiffel : un budget « préoccupant » 

« Cependant, au moment de la construction du budget 2024, nous ressentons quelques préoccupations : les augmentations du point d’indice et des dépenses énergétiques, de même que les surcoûts liés à l’inflation n’étant que très partiellement compensés par les tutelles, cela nous oblige à puiser dans la part mobilisable de notre fonds de roulement, alors même que les besoins d’investissement, notamment pour la transition énergétique, sont importants. Nous n’avons pas l’intention de freiner le développement de nos projets, néanmoins, cette situation ne saurait être tenable à moyen terme », complète Corinne Blanquart, première vice-présidente de l’Université Gustave Eiffel.

 

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Orientation Universités

Les universités Québécoises vont à la rencontre des lycéens et étudiants parisiens !

Vendredi 6 octobre, 16 universités du Québec viennent à la rencontre des lycéens et des étudiants de Paris. 

Elles viennent répondre à une demande croissante des étudiants français (+14% en 2022) qui sont désormais près de 40 000 au Canada.  Un phénomène qui place le Québec au rang numéro un des destinations choisies par les français pour partir étudier à l’étranger.

Un représentant du Gouvernement du Québec animera des conférences sur les modalités administratives et migratoires.

 

Une tournée dans toute la France 

Après le succès de l’édition 2022, les universités québécoises sont de retour pour une Tournée Destination Universités Québec. Cette fois, c’est l’ouest de la France qui a été choisi par les 16  universités qui composent la délégation. Le lancement se fera à Paris, puis en route pour Rennes, Nantes, Bordeaux et Toulouse du 11 au 15 octobre. Plus de 3000 candidats sont attendus. 

 

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Le Québec libère le plein potentiel de ceux qui s’y aventurent

En moins de quinze ans, le nombre de candidats français au Québec a été multiplié par trois. Le Canada est désormais la destination la plus prisée des jeunes français qui souhaitent poursuivre leurs études à l’étranger, devant la Belgique. 

La langue et la proximité culturelle sont des arguments solides qui rassurent les étudiants français en quête d’un dépaysement nord-américain mais la perspective d’un avenir prometteur, la qualité des formations et des infrastructures ainsi que la proximité qui fait loi entre les étudiants et les professeurs répondent aux ambitions des candidats les plus exigeants.

 

La réussite au cœur du système universitaire

La réussite des étudiants est un enjeu majeur au Québec. Chacune des universités rivalisent d’activités et de démarches exemplaires d’accompagnement et de suivi des étudiants mises en place pour favoriser l’intégration au milieu de l’enseignement supérieur, la réussite académique, l’accès au diplôme, l’intégration sur le marché du travail et la poursuite des études. Le Gouvernement du Québec a récemment investit 450 millions afin de renforcer les efforts déployés pour la réussite dans l’enseignement supérieur. Ses gages de succès sont pleinement partagés par les candidats français qui font le choix du Québec.

 

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Des entretiens individuels avec chacune des universités québécoises

Tous les candidats pourront s’entretenir individuellement avec les responsables d’admission de chacune des universités québécoises. Ils pourront présenter leur projet personnel et poser toutes leurs questions. Qu’ils souhaitent étudier dans un établissement francophone, anglophone ou bilingue, dans un grand centre urbain ou dans une ville de plus petite taille, tous vont pouvoir faire un choix éclairé de leur université et planifier leur projet d’études au Québec.

Tous les niveaux d’études, du post-BAC au Post-doc seront représentés ainsi que toutes les disciplines à l’exception des métiers de la santé qui sont des programmes contingentés, réservés aux étudiants québécois.

 

Des conférences pratiques pour tout savoir sur les études au Québec

Des conférences d’informations sur les études, la vie et les modalités administratives pour partir étudier au Québec seront animées par un représentant du Gouvernement du Québec. Elles viendront compléter les entretiens individuels entre candidats et responsables d’admission.

 

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AST ESSEC Orientation Témoignages Universités

Témoignage : Intégrer l’ESSEC après l’Université

Chaque année, des centaines d’étudiants d’université choisissent de pousuivre leur scolarité avec un Master en Grande Ecole de commerce par le biais des concours AST. Si l’accès aux écoles du TOP10 et du TOP5 est relativement abordable, les Parisiennes (HEC Paris – ESSEC – ESCP), se veulent beaucoup plus sélectives sur les profils qu’elles recrutent, l’ESSEC ayant cette particularité de ne recruter qu’à partir de BAC+4. Louis fait partie de l’un d’entre eux.

 

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Bonjour, peux tu te présenter en quelques mots ? 

Bonjour, je m’appelle Louis, j’ai 23 ans et je suis étudiant du programme grande école de l’ESSEC que j’ai intégré comme AST après un M1 de droit à Paris II Panthéon-Assas.

 

Qu’as tu pensé de ton parcours à l’université ? Pourquoi avoir choisi d’intégrer une école de commerce en Master ? 

J’ai beaucoup aimé mon parcours à Assas et mes années à l’université mais je ne souhaitais pas continuer dans le droit donc j’ai décidé d’intégrer un école de commerce pour pouvoir travailler dans un autre secteur.

 

Être candidat AST exige de savoir allier sa vie d’étudiant en licence, sa vie associative ainsi qu’une forte préparation aux concours des écoles … comment as tu géré cela ? 

Je me suis bien organisé pour planifier en avance les révisions du Tage Mage, celles des partiels de la fac et la préparation du dossier pour les différentes écoles. Si on s’y prend suffisamment à l’avance c’est possible de faire tout à la fois surtout que les notes obtenues à l’université comptent pour le dossier des écoles, donc quelque part réviser les partiels c’est préparer le concours, qui se base sur le Tage Mage mais aussi sur le dossier des candidats.

 

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Le Tage Mage est l’épreuve reine de ces concours AST, notamment pour les écoles du TOP5. Quels scores as tu obtenus ? 

J’ai passé deux fois le Tage Mage et j’ai obtenu le score de 380 la première fois et 383 la deuxième donc j’étais plutôt content parce que je voulais entrer à l’ESSEC et que ces scores sont a priori dans la moyenne des admis dans cet école.

 

Comment as tu travaillé le Tage Mage ? 

J’ai suivi une prépa pendant le premier semestre de l’année universitaire, avec un cours par semaine sur le Tage Mage et des Tage Mage blancs. En parallèle je faisais un Tage Mage blanc en plus chez moi chaque semaine.

 

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Tu es maintenant en train de finir ton cursus à l’ESSEC …que dirais tu de ton parcours en Grande École ?

C’est très différent de l’université, on est beaucoup plus libre de choisir les matières que l’on veut étudier et j’ai vraiment apprécié la diversité des cours qu’on peut y suivre. Les élèves viennent aussi d’horizons assez différents grâce au programme AST. Les travaux de groupe sont beaucoup plus présents qu’à la fac. Enfin, on a pas mal de possibilités de construire son parcours à travers les chaires, les filières et les échanges internationaux.

 

Comment envisages tu la suite de ton parcours ? Dans quels domaine souhaites tu t’orienter ? 

Après mes études à l’ESSEC je compte suivre une carrière dans l’esport, un domaine dans lequel je m’investis depuis plusieurs années.

 

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Un mot pour les candidats AST de cette année qui visent une Parisienne ?

Mon conseil serait de ne pas négliger ses partiels au détriment du Tage Mage et de ne pas oublier que le dossier a un coefficient bien plus important que le Tage Mage, ne misez donc pas tout sur ce dernier.

 

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Actu Ecoles Universités

IAE France : Rentrée 2023, nouveautés et perspectives

La conférence de presse de rentrée d’IAE France a apporté son lot de nouvelles passionnantes pour les étudiants qui préparent leurs admissions sur titres. L’événement a été marqué par plusieurs annonces importantes qui promettent de façonner l’avenir des IAE (Instituts d’Administration des Entreprises) en France. Voici un aperçu des points clés de cette conférence.

 

Expansion du Réseau IAE France

La première grande nouvelle de la conférence est l’ajout d’IAE Bretagne au réseau IAE France. Cette expansion porte le nombre total d’IAE à 38, renforçant ainsi la présence et l’influence de l’organisation à travers le pays. Cette décision ouvre de nouvelles opportunités pour les étudiants et renforce la diversité des formations disponibles au sein du réseau.

 

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Insertion professionnelle au cœur des préoccupations

L’enquête sur l’insertion professionnelle des diplômés des IAE a révélé des chiffres impressionnants. En effet, 91 % des diplômés trouvent un emploi dans les six mois suivant leur obtention de diplôme. Cette statistique monte même à 92 % pour les formations en alternance, soulignant la pertinence et l’efficacité de cette approche pédagogique. De plus, 67 % des diplômés ont reçu une proposition d’emploi pendant leur formation, confirmant le taux de transformation élevé des stages en emplois. Enfin, le salaire moyen à l’embauche s’élève à 37,7 000 euros, mettant en lumière la valeur ajoutée des diplômes délivrés par les IAE.

 

« Trouver Mon Master » : Qualité Plutôt que Quantité

IAE France a pris la décision stratégique de ne pas augmenter le nombre de places disponibles sur la plateforme « Trouver Mon Master ». Cette décision vise à préserver la qualité de l’accueil au sein des IAE, en évitant la surpopulation qui pourrait nuire à l’expérience des étudiants. Ainsi, le réseau préfère se concentrer sur l’excellence de ses formations plutôt que sur leur quantité.

 

Stratégie d’information et visibilité

La conférence a également abordé la stratégie d’information d’IAE France, mettant en avant plusieurs initiatives essentielles. Tout d’abord, l’accent est mis sur les accréditations internationales, visant à rehausser le statut des IAE à l’échelle mondiale. De plus, un référentiel de connaissances et compétences en matière de Développement Durable et RSE est en cours de développement pour préparer les étudiants aux enjeux actuels de l’entreprise. La refonte de Qualicert vise à garantir la qualité des formations. En outre, des travaux sont en cours en collaboration avec la DGESIP et l’Onisep pour accroître la visibilité des IAE dans les statistiques éducatives. Enfin, une campagne de valorisation, s’étendant jusqu’aux lycées, est prévue pour mettre en lumière l’excellence des IAE.

 

Partenariat avec AACSB pour l’internationalisation

Une signature majeure est venue de la convention de partenariat entre AACSB et IAE France. Six IAE sont actuellement en processus d’accréditation, tandis qu’EM Strasbourg a déjà obtenu cette reconnaissance internationale. Cette démarche témoigne de la volonté d’internationaliser les IAE et d’attirer des étudiants internationaux. De plus, elle vise à promouvoir la qualité des formations au sein des IAE pour rivaliser avec les Grandes Écoles.

 

Impact des mesures gouvernementales sur les budgets et bonnes pratiques

Enfin, la conférence a évoqué l’impact des mesures gouvernementales sur les budgets des IAE. La gestion des universités a imposé des contraintes budgétaires qui ont des répercussions sur le fonctionnement des IAE. Cette crise de gestion pourrait entraîner des choix difficiles en matière de ressources et de formations. Pour faire face à ces défis, un vademecum de bonnes pratiques sera élaboré afin d’aider les universités à valoriser au mieux leurs IAE.

 

La conférence de presse de rentrée d’IAE France a donc jeté les bases d’une période passionnante pour les étudiants qui envisagent de rejoindre ces instituts prestigieux. Avec l’expansion du réseau, des taux d’insertion professionnelle impressionnants, des initiatives stratégiques et un engagement envers l’internationalisation, les IAE continuent de se positionner comme des acteurs incontournables de l’enseignement supérieur en France.

 

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Orientation Universités

Licence Administration Économique et Sociale (AES) : programme, admission, débouchés…

La licence AES est une formation très polyvalente proposant des matières variées. Elle se prépare en trois ans, après l’obtention d’un baccalauréat général ou technologique et permet de cumuler 180 ECTS. Les enseignements ressemblent à ceux de la licence éco-gestion, à l’exception que ces derniers sont plus orientés vers les sciences sociales que les mathématiques.

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Le programme en licence AES

La licence AES apporte des compétences pluridisciplinaires aux étudiants, permettant notamment de développer leur culture générale, une bonne méthodologie et un raisonnement fin.

Les matières enseignées tournent autour de :

  • L’économie
  • La finance
  • La gestion
  • La sociologie
  • Le droit
  • Les médias et la communication
  • Les langues vivantes
  • L’informatique
  • Les ressources humaines

En L3, les étudiants doivent choisir un parcours autour du droit, de l’économie ou bien de la gestion. Chaque université propose ses propres spécialisations. Voici quelques exemples :

  • Commerce international et marketing
  • Métiers de l’éducation
  • Finance et banque
  • Administration et gestion de l’entreprise
  • Gouvernance des Entreprises et des Territoires
  • Economie Sociale et Solidaire-Entrepreneuriat

Et bien d’autres…

Les cours de la licence AES étant principalement théoriques, une période de stage est proposée, souvent en fin de cursus afin de mettre en pratique les connaissances acquises.

Certains établissements proposent des doubles cursus permettant d’associer la licence AES avec une autre formation, telle qu’une licence en droit.

Les admissions en licence AES

La licence AES est accessible directement à la suite d’un baccalauréat général ou technologique (les bacheliers généraux demeurant majoritaires au sein du cursus). 

Afin de candidater, il faut se rendre sur la plateforme Parcoursup. N’oubliez pas de déposer vos voeux dans plusieurs établissements afin de maximiser vos chances d’admission.

Les attendus que vous pouvez mettre en avant sur votre lettre de motivation Parcoursup sont principalement :

  • Une bonne maitrise de la langue française à l’oral comme à l’écrit
  • Un bon esprit de synthèse
  • Une bonne maitrise des mathématiques notamment pour les cours se rapportant à l’économie et à la gestion
  • Un intérêt pour les questions sociétales

Pour les bacheliers généraux, les spécialisations à privilégier sont principalement les sciences économiques et sociales, la géopolitique, les sciences politiques et l’histoire-géographie.

Concernant les élèves souhaitant s’orienter vers un baccalauréat technologique, le bac STMG est à privilégier puisque qu’il vous apportera d’excellentes connaissances exploitables au sein de la licence AES.

Il est également possible d’intégrer la licence AES en deuxième ou troisième année, à la suite d’un BTS, d’un BUT, d’une L1 ou bien d’une L2 validé, dans un domaine proche.

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Les débouchés à la suite d’une licence AES

À la suite d’une licence AES, les étudiants peuvent se tourner vers un master en université, en école spécialisée, telle qu’une école de commerce, ou bien en IAE (Institut d’Administration des Entreprises).

Cependant, il est également possible de ne faire que les deux premières années de la licence AES et d’intégrer une L3 dans une autre licence dans un domaine proche (sciences politiques, droit, sciences de l’éducation…), une troisième année de Bachelor en école de commerce (sur concours) ou encore une L3 en licence professionnelle (commerce, gestion, comptabilité…).

Enfin, bien que la licence AES soit une formation principalement destinée à une poursuite d’étude, il est également possible d’intégrer directement le monde professionnel, suite à son obtention.

Les diplômés peuvent alors se tourner vers des secteurs tels que :

  • La banque
  • Les assurances
  • Le droit
  • La gestion
  • Les ressources humaines
  • La fonction publique

Et bien d’autres…

Les meilleures licences AES en France

De nombreuses universités en France proposent la licence AES. Ainsi, il peut être compliqué de choisir parmi les différents établissements. Voici donc le top 10 des meilleures licences AES en France :

RangUniversités
1Université Paris 1 Panthéon Sorbonne
2Université Paris Nanterre
3Université Paris Saclay
4Université Paris 8
5Université de Lille
6Université Sorbonne Paris Nord
7Université Toulouse 1 Capitole
8Université Paris 2 Panthéon – Assas
9Université Paul Valery – Montpellier 3
10Université de Bordeaux

Pour conclure, la licence AES est une excellente formation offrant des compétences larges dans les domaines de la gestion, de l’économie, du droit, des sciences sociales, des ressources humaines… Ainsi, elle correspond parfaitement aux étudiants n’ayant pas d’idées précises concernant leur avenir professionnel ou le secteur vers lequel ils souhaitent se tourner. La licence AES permet ainsi de se spécialiser au fil des années, notamment pour les étudiants se tournant vers un master.

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Orientation Universités

La licence Économie et Gestion

La licence économie et gestion est un diplôme préparé en trois ans, soit six semestres, permettant d’obtenir 180 crédits ECTS. Cette formation est accessible directement après le baccalauréat. Elle s’adresse à des étudiants souhaitant se tourner vers une carrière dans le commerce, la comptabilité, la gestion et bien d’autres domaines.


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Le contenu de la licence économie et gestion

La licence économie et gestion alterne entre des cours magistraux et des TD. Les étudiants y acquièrent des notions en gestion, microéconomie, macroéconomie, mathématiques, statistiques, langues, ressources humaines, marketing, management… Les enseignements au cours de ce cursus son très variées, ce qui représente un réel avantage pour les diplômés.

En troisième année, les étudiants se spécialisent. Ils doivent ainsi sélectionner un parcours parmi ceux proposés dans l’établissement où ils sont inscrits. Différentes possibilités existent, suivant les appétences des étudiants (gestion, économie, management…). Afin de connaître les parcours que vous pouvez sélectionner, rendez-vous sur le site de votre université.

Cependant, certains étudiants veulent accéder à une formation davantage professionnalisante à la suite de leur L2 et préfèrent ainsi se diriger vers une licence professionnelle dans les domaines de la banque, des assurances ou bien de la finance bancaire par exemple.

Les admissions en licence économie et gestion

La licence économie et gestion est accessible directement à la suite d’un baccalauréat général, de préférence. Afin de candidater, il suffit de s’inscrire sur Parcoursup et de fournir les documents demandés sur la plateforme.

Afin de maximiser vos chances d’intégrer une licence économie et gestion, voici les attendus Parcoursup que vous pouvez mettre en avant dans vos lettres de motivation :

  • Faire preuve de compétences en mathématiques et statistiques
  • Savoir bien s’exprimer à l’écrit et raisonner de manière logique afin de pouvoir argumenter
  • Avoir une culture générale développée
  • Être méthodique et autonome afin de s’organiser dans son travail
  • Avoir un bon niveau en anglais

Concernant les spécialisations en classe de terminale à privilégier, les universités conseillent aux étudiants de prendre la spécialisation mathématiques, puisque cette discipline est très présente au sein de la formation. Les sciences économiques et sociales, la géopolitique ou encore les sciences politiques sont des spécialisations intéressantes pour ce cursus également.

Il est possible d’entrer en licence économie et gestion directement en deuxième année (L2) ou troisième année (L3). Pour cela, il faut avoir validé un diplôme de niveau Bac+2 tels qu’une classe préparatoire économique et commerciale ou un BTS dans un domaine se rapprochant du contenu de la licence.

 

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La poursuite d’études à la suite d’une licence économie et gestion

Les étudiants ayant validé une L2 peuvent s’orienter vers une licence professionnelle ou bien vers une école de commerce, où ils peuvent réaliser un bachelor en intégrant directement la dernière année.

Pour les diplômés d’une licence économie et gestion, ayant donc validé leurs trois années, il est possible de poursuivre avec un master dans un établissement public ou bien dans une école de commerce.

Les débouchés pour les diplômés d’une licence économie et gestion

La licence économie et gestion prépare les étudiants aux métiers de la gestion, des ressources humaines, du marketing, de la finance, du management

La majeure partie des diplômés se dirigent généralement vers un master afin de se spécialiser dans un domaine plus précis et approfondir leurs connaissances. Une fois diplômé d’un Bac+5, il est possible de prétendre à de nombreux postes, suivant les domaines de compétence des diplômés, tels que :

  • Analyste financier
  • Assistant(e) de gestion
  • Comptable
  • Contrôleur/se de gestion
  • Conseiller/ère en patrimoine
  • Économiste
  • Chargé(e) d’études marketing
  • Statisticien(ne)
  • Enseignant(e)-chercheur/se

Et bien d’autres…

Cependant, il est également possible d’entrer directement sur le marché du travail dans divers domaines.

Les étudiants peuvent aussi passer les concours de catégorie A ou B de la fonction publique de l’État, territoriale ou hospitalière.

Pour conclure, la licence économie et gestion est une excellente formation pour les étudiants souhaitant se tourner vers une carrière dans la finance, la gestion, le marketing, la gestion… Les poursuites d’études sont multiples, pour les diplômés souhaitant se spécialiser dans un domaine ou bien approfondir leurs connaissances.

Actu Ecoles Universités

L’IAE Bretagne Sud rejoint le réseau IAE France

Après l’IAE Saint-Etienne en juillet 2022, le réseau IAE France poursuit son déploiement avec l’accueil de l’Institut de Management de l’Université Bretagne Sud (UBS), futur IAE Bretagne Sud et 38ème IAE membre. 

L’Assemblée Générale d’IAE France, qui s’est tenue le 5 juillet 2023, s’est prononcée en faveur de l’intégration de l’IAE Bretagne Sud. Ancrée depuis plus de 25 ans au cœur du territoire morbihannais, l’Université Bretagne Sud se définit comme une université de projets, pluridisciplinaire et acteur essentiel de la promotion sociale sur son territoire. Comptant 11 000 étudiants répartis sur 3 campus (Vannes, Lorient et Pontivy), cette université à taille humaine se distingue par la forte professionnalisation des formations et l’intensité de la recherche collaborative. 

 

« L’Institut de Management » de l’UBS deviendra l’IAE Bretagne Sud en 2024

L’UBS s’inscrit dans un modèle d’université « Nouvelle génération » et partage l’ambition du réseau IAE FRANCE d’apparaître comme le premier choix des futurs étudiants souhaitant suivre des études supérieures en management. À travers son intégration au réseau IAE FRANCE, c’est donc le département « Institut de Management » de l’UBS qui deviendra, dès la rentrée 2024, l’IAE Bretagne Sud. Ce nouvel IAE renforcera ainsi la présence des écoles universitaires de management sur le territoire breton, aux côtés de l’IGR-IAE Rennes et de l’IAE Brest, établissement avec lequel il partage déjà de nombreux axes de recherche au sein du laboratoire LEGO (Laboratoire d’Economie et de Gestion de l’Ouest Breton). 

 

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Eric Lamarque, président du réseau IAE France « [est] ravi de cette décision qui s’inscrit dans une stratégie de couverture du territoire national et consolide la place de l’enseignement supérieur public en sciences de gestion en Bretagne. Ouvrir le réseau à de nouveaux IAE, c’est aussi s’enrichir de la diversité de nos écoles qui contribuent, grâce à leurs spécificités, à une riche et passionnante dynamique nationale. » 

 

L’IAE Bretagne Sud propose 15 programmes de formation 

L’IAE Bretagne Sud accueillera 900 étudiants à la rentrée 2023 au sein de parcours de la licence au doctorat. L’IAE Bretagne Sud propose ainsi 15 programmes de formation diplômants et notamment une licence générale avec 4 parcours et 7 masters dont 6 en alternance. Pour encadrer ces étudiants, ce sont 39 enseignants et enseignants-chercheurs, 120 professionnels vacataires experts dans leur domaine ainsi qu’une équipe administrative qui travaillent quotidiennement.

 

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« Rejoindre le réseau IAE France est le fruit d’une volonté ancienne, portée collectivement par le plus grand nombre au sein de l’UBS et au-delà. La qualité des formations au sein de l’Institut de Management et la dynamique de son laboratoire de recherche LEGO sont en phase avec les ambitions de rigueur et de qualité que porte le réseau IAE France et nous sommes ravis de pouvoir contribuer à cette dynamique collective. » affirme Virginie DUPONT, Présidente de l’Université Bretagne Sud. .