Un univers construit comme un jeu vidéo
La principale critique faite à l’égard des métavers c’est qu’ils ne seraient, dans le meilleur des cas, que des versions améliorées de jeux vidéo. Et après tout, on y évolue avec un avatar dans un univers gamifié dans lequel il est possible de jouer tout en discutant avec les autres joueurs. A l’image d’un jeu vidéo, ce monde virtuel est persistant puisqu’il est possible d’y entrer et d’en sortir à tout moment. L’univers est personnalisable. Enfin il est possible d’y attacher des objets, des outils, des vêtements ou encore des armes. Aussi, force est de constater qu’à première vue les métavers semblent en effet s’apparenter à des jeux vidéos.
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Dans le métavers, des possibilités étendues
Si la construction graphique et les possibilités de déplacements, d’habillement etc poussent à considérer le métavers comme un simple jeu vidéo, l’étendue des possibilités offertes en fait en réalité un outil très différent. Tout d’abord il faut envisager la dimension professionnelle que le métavers permet. Si organiser une réunion dans une partie de FIFA ou de GTA semble farfelu, le faire dans le métavers permet de la rendre beaucoup plus ludique. Il est possible notamment d’utiliser des logiciels tels que Zoom, de proposer aux participants d’évoluer au sein d’une usine reconstituée… Les possibilités sont infinies. Des évènements culturels comme des concerts ou des expositions y sont d’ores et déjà organisés. Les applications sont donc sans limites et des domaines tels que l’éducation pourraient connaître une révolution.
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Le métavers : un univers générateur de nouveaux métiers
Si des artistes peuvent d’ores et déjà se produire dans le métavers, il semble évident que de nouveaux métiers vont se développer. En effet, si des agences d’architecture se sont déjà converties à la conception de lieux dans le métavers, nul doute que vont éclore des postes comme designer de mode pour avatars, décorateur de maisons virtuelles, organisateur d’évènements ou d’expériences dans le métavers….
Aussi les métavers peuvent aller beaucoup plus loin en matière d’expériences, de possibilités que ne le peuvent les jeux vidéos.
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