L’École de design Nantes Atlantique s’engage dans l’économie bleue en tant que partenaire du projet européen ATLIC.
Ce projet, piloté par le Município de Santo Tirso, Portugal, et financé par le programme européen Interreg, est mené en collaboration avec 10 partenaires européens dont le Bluelab Saint-Nazaire (Fablab) et L’École de design Nantes Atlantique, en France.
Concrètement, il vise à créer une communauté pilote d’étudiants qui travailleront sur des projets de prospective directement connectés aux entreprises de l’économie bleue, et ceci autour de quatre grandes thématiques : les énergies, les habitats, l’alimentation et les transports.
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L’École de design dans le projet ATLIC
L’École de design Nantes Atlantique est impliquée dans le projet comme suit :
- Création d’une communauté d’étudiants qui travailleront sur l’identification des défis des entreprises de l’économie bleue.
- Mise en place d’une plateforme collaborative de ressources en ligne.
- Cartographie des acteurs locaux et européens autour des défis identifiés.
« Prendre part à un tel projet en lien avec l’économie bleue relève de la responsabilité de L’École de design Nantes Atlantique face aux urgences et enjeux climatiques auxquels notre monde est confronté. Ainsi, nous nous engageons et ouvrons un terrain de recherche pour des résultats que nous voulons prometteurs. Nous fournirons des idées et des recommandations sur les meilleures pratiques, ainsi que des conseils sur les stratégies de communication efficaces pour atteindre et engager différents groupes cibles et notamment les jeunes. Notre expérience de travail avec des organismes gouvernementaux et des établissements d’enseignement supérieur de premier plan nous permettra d’apporter des perspectives précieuses sur les cadres politiques et institutionnels liés à l’innovation et à l’esprit d’entreprise », explique Florent Orsoni, Directeur de la prospective, L’École de design Nantes Atlantique.
Accélérer la transformation de l’économie bleue européenne
L’économie bleue, telle que définie dans un rapport de la Commission européenne, concerne « toutes les activités économiques sectorielles et intersectorielles basées sur ou liées aux océans, aux mers et aux côtes ». Elle recouvre des secteurs bien établis comme la pêche et l’aquaculture, la production d’énergies marines renouvelables, les activités portuaires, la construction et la réparation navales, le transport maritime, le tourisme côtier ; et des secteurs émergents tels que l’extraction de minéraux marins, le dessalement ou encore la gestion des câbles sous-marins.
La transformation de l’économie bleue européenne est essentielle pour répondre aux objectifs de développement durable à l’horizon 2030 et ainsi atteindre une économie bleue durable et neutre tout en étant productive et compétitive. Cette transition nécessite d’améliorer la résilience des écosystèmes marins, notamment par des actions de conservation et de restauration de la biodiversité marine, et d’identifier des solutions innovantes.
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