Pour sa mouture 2023, le concours ACCES s’ouvre aux admissions parallèles. Pour autant cette nouvelle voie d’admission correspond plus à une mutualisation qu’à une réelle nouveauté. En effet, un certain nombre d’étudiants intégraient déjà l’IESEG en 2e, 3e voire 4e année. C’est le cas de Louise de Garrigues et de Romain Dumartin qui nous partagent leur expérience au sein du programme grande école de l’IESEG.
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Quel a été votre parcours avant de rejoindre l’IESEG ? Et pourquoi avoir décidé de rejoindre cette école ?
Louise: Après un bac ES et avoir entamé une prépa ECE, j’ai fait le choix de rejoindre une licence en économie. J’avais besoin d’enseignements plus concrets et donc j’ai fait le choix d’intégrer l’IESEG. C’est le témoignage d’un étudiant et sa place de première école du classement des écoles de commerce post-bac qui m’ont convaincu de la rejoindre. Mais c’est aussi sa dimension internationale à travers l’opportunité offerte par l’IESEG de partir pour un semestre à l’étranger. Autant que sa dimension professionnalisante avec l’opportunité d’effectuer un stage de six mois.
Romain : Je recherchais une formation pratique avec des applications concrètes, c’est la raison pour laquelle j’ai rejoint une première formation en management. A l’occasion de ce premier cycle j’ai pu partir un an en échange à Oxford. J’ai eu l’occasion de réaliser trois stages pendant cette licence notamment en Transaction Services et en Restructuring. A l’occasion de ces expériences, j’ai échangé avec des managers et des étudiants qui m’ont convaincu de rejoindre l’IESEG pour mon master. Mon choix s’est porté sur la majeure Financial Transactions & Corporate Strategy. Laquelle a ce double intérêt d’apporter une vision interne qui pourrait être celle d’un directeur financier mais aussi externe se rapprochant de celle d’un analyste par le biais de techniques de valorisation, par exemple.
Comme s’articule votre parcours à l’IESEG ?
Louise : Après un premier semestre de cours, j’ai rejoint les équipes de Sézane en tant que chef de projet marketing pour un stage de six mois. J’ai rejoint ensuite l’université de Stockholm pour un échange d’un semestre en marketing et mangement. Je termine mon parcours par la rédaction de mon mémoire sur la manière dont la perception influence la consommation d’une mode responsable.
Romain : Mon parcours a démarré par deux semestres de cours, un semestre de rédaction de mon mémoire et se terminera par un stage de six mois. Notre parcours est jalonné – au-delà des cours et des travaux de groupe – par des conférences animées par les acteurs de la finance (Big four…), des rencontres alumnis et la préparation aux entretiens des métiers de la finance. Lesquels sont connus pour leur technicité.
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Quel restera ton meilleur souvenir à l’IESEG ?
Louise : C’est sans aucun doute mon échange à Stockholm. D’abord parce que notre classement définit l’ordre de choix de la destination de notre échange et que j’étais très heureuse de pouvoir décrocher le premier de mes choix. Ce système de classement est d’ailleurs une réelle motivation pour obtenir le meilleur dossier possible. Ensuite parce que cette expérience a été exceptionnelle du fait de l’immersion que j’ai vécue, au sein de cette ville incroyable qu’est Stockholm et des voyages que j’ai pu faire. Mais aussi par la richesse des enseignements et les spécificités du rythme académique en Suède.
Qu’est-ce qui t’a séduit dans le positionnement de l’IESEG ? Comment pourrais-tu convaincre un candidat aux admissions parallèles ?
Romain : Je considère que c’est une école dynamique, qui a le souci permanent de s’élever. J’entends par là d’innover en proposant des cours nouveaux à l’image du partenariat avec Le Wagon (E-learning d’acculturation au code), un très large éventails d’électifs qui permettent d’acquérir des compétences diverses et globalement parce qu’elle se donne les moyens de progresser, aussi dans les classements. Enfin parce que j’ai découvert des professeurs bienveillants qui ont la volonté de nous transmettre leur savoir et de nous permettre de réussir.