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Catégorie : Témoignages
Témoignage : rejoindre TBS Education après une prépa ATS
Ludwig a accepté pour Objectif AST de revenir sur son année de préparation aux concours AST au sein de la prépa ATS de l’ENC Bessières.
Peux-tu te présenter ?
Ludwig : Je suis Ludwig Vincendeau, j’ai 21 ans et je suis originaire d’Orléans.
Peux-tu nous expliquer ton parcours ?
Ludwig : J’ai obtenu mon bac ES en 2019 et par la suite je me suis orienté vers un BTS Technico-commercial que j’ai fait à Lille. Cependant, cette formation ne me plaisait pas et ne me convenait pas et c’est pourquoi j’ai choisi de me réorienter vers un DUT Techniques de Commercialisation que j’ai réalisé à l’IUT de Troyes. Cette année j’ai effectué un double cursus CPGE ATS- L3 AES à l’ENC Bessières et l’Université de Paris-Nanterre et me dirige vers le PGE de TBS Education en septembre prochain.
Quelles sont selon toi les raisons de rejoindre une prépa ATS ?
Ludwig : J’ai fait le choix de rejoindre une prépa ATS car c’était pour moi le meilleur moyen de concilier continuité pédagogique avec la licence et préparation aux concours avec la prépa. Je trouve que cette prépa ATS est vraiment un bon tremplin.
Quel est le quotidien en prépa ATS ? Quelles sont selon toi les qualités nécessaires pour réussir ?
Ludwig : Pour la prépa, nous y avions cours les lundis, mardis et vendredis matin (les vendredis après-midi étaient réservés pour les khôles). Nous faisions du 8h30-17h30 les lundi et mardi avec beaucoup de gestion, d’économie et de culture générale (anglais et espagnol en plus bien sûr). Tous les vendredis matin de 10h à 12h30 nous faisions des entraînements Tage Mage. Les mercredi et jeudi étaient les 2 jours destinés à la fac (CM +TD).
Selon moi, pour réussir en prépa ATS il faut être curieux, organisé, tenace et rigoureux.
Lire plus : L’emlyon après un prépa ATS, le parcours d’Eve
As-tu des conseils à partager pour réussir le TOEIC et le Tage-Mage ?
Ludwig : Pour réussir ces deux concours, il n’y a qu’une chose à faire : travailler ! il faut vraiment bachoter et s’entraîner encore et encore pour y arriver et ne pas lâcher les efforts, c’est une course d’endurance.
Pourquoi avoir fait le choix de rejoindre TBS Education ?
Ludwig : J’ai fait le choix de rejoindre TBS Education car c’est l’école qui me correspondait le mieux. J’ai adoré la ville et l’ambiance de l’école. De plus, je souhaite m’orienter vers le conseil et TBS Education est renommée dans ce domaine. Le classement n’a vraiment pas été un facteur pour moi car je pars du principe que les écoles après le top 5 c’est-à-dire top 6 à 10 sont identiques.
Quels conseils donnerais-tu aux candidats qui veulent préparer les admissions parallèles ?
Ludwig : Soyez organisé, rigoureux et constant dans votre préparation aux concours et surtout, croyez-en vous ! Si les autres y sont parvenus vous pouvez le faire également, ne cédez pas à la difficulté et à la pression.
Pourquoi faire un Graduate Program ?
Cet article a vocation à vous faire découvrir – ou re-découvrir- ce que sont les Graduates Program et à dresser les raisons pour lesquelles vous devriez opter pour l’un deux.
Un graduate program, c’est quoi ?
Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à proposer aux jeunes diplômés d’intégrer leur graduate program. Ces programmes, d’une durée moyenne de deux ans, doivent permettre aux candidats à haut potentiel d’être formés rapidement par le biais de diverses affectations (appelées rotations) et formations spécifiques afin d’accéder rapidement à des postes de responsabilité. Ils sont ouverts aux jeunes diplômés n’ayant pas ou peu d’expériences professionnelles. Leur accession est complexe au regard du nombre important de candidats, du nombre limité de places et des multiples étapes qui jalonnent le recrutement.
Mais alors, quels avantages pourriez-vous trouver à rejoindre un de ces programmes ?
L’occasion de continuer à explorer
Intégrer un graduate program c’est d’abord l’occasion de découvrir une entreprise et un secteur d’activité par le prisme de plusieurs postes, fonctions, directions. C’est donc toute à la fois l’opportunité d’acquérir rapidement une vision globale de ladite entreprise, mais aussi de se former tout aussi rapidement à différents métiers. C’est un atout indéniable pour vous permettre de gagner en compétences et donc faciliter votre progression.
Lire plus : Découvrez le parcours de Mathieu en Graduate Program Finance chez Carrefour
Étendre votre réseau au sein de l’entreprise et en externe
C’est là certainement l’un des avantages les moins attendus, les moins espérés par les aspirants graduates qui pourtant se révèle être un atout de poids pour votre évolution en interne comme en externe. Interne parce que ce carnet d’adresse vous permettra de résoudre plus facilement certaines problématiques par la connaissance du bon interlocuteur, d’être informé des opportunités, de faire part de vos envies, d’être sollicité, d’être présenté… En somme, d’être visible. En externe parce que en raison de ce statut et des postes que vous occuperez vous serez en contact avec des cadres dirigeants des sociétés partenaires, fournisseurs…
Développer des compétences et des aptitudes managériales
Un graduate doit vous permettre de développer rapidement de nouvelles compétences fonctionnelles, opérationnelles voire techniques mais aussi des soft skills. Les graduates s’accompagnent en effet souvent de programmes de formation adaptés aux besoins de futurs managers. Qu’ils prennent la forme d’enseignements thématiques ou de formations dispensées par une business school ou une école d’ingénieurs, ils ont pour vocation de vous apprendre à devenir un manager. Vous qui n’avez souvent eu que peu d’expériences de management.
Lire plus : Pourquoi faire un double diplôme ?
Accéder à des postes à responsabilité
C’est certainement la finalité première de ces programmes. L’objectif est de vous former le plus complètement possible, en un temps accéléré, pour vous permettre d’accéder rapidement à des postes à responsabilité. Du point de vue de l’entreprise, c’est un pari pris sur l’avenir. Elle souhaite encadrer votre formation afin de faire de vous un manager dont elle aura besoin à des postes stratégiques et qui fort de sa formation sera apte à prendre les bonnes décisions. Au terme de programme, en moyenne deux ans, vous pourrez en effet intégrer un poste à fortes responsabilités.
Intégrer HEC par les concours AST, l’expérience de Lou !
Retrouvez le témoignage de Lou Adler, étudiante à HEC Paris après avoir passé les concours AST. Vous allez découvrir son parcours et ses conseils pour réussir à intégrer les Grandes Écoles sans passer par une classe prépa !
Lire plus : Intégrer une Grande Ecole après la Fac ? (Avis d’étudiants)
Écoles, épreuves, admissions… Tout savoir sur les concours AST !
Nous avons interrogé Lou sur son parcours atypique. En effet, avant son entrée à HEC Paris à ses 26 ans, elle a eu de nombreuses expériences aussi bien associatives, qu’entrepreneuriales et a même joué du tennis en niveau professionnel. Afin d’en savoir davantage, nous l’avons interrogé sur les points suivants :
- Peux-tu te présenter ?
- Quel est ton parcours en quelques mots ?
- Pourquoi avoir choisi de rejoindre une Grande École ?
- Comment t’es-tu renseignée pour trouver ton école ?
- As-tu présenté d’autres écoles ?
- Comment se déroule la candidature d’admission à HEC ?
- Comment as-tu travaillé le TAGE MAGE ?
- Comment as-tu travaillé le TOEIC ?
- Comment ça se passe à HEC ?
- Quels domaines souhaites-tu intégrer ?
Visionnez la vidéo pour en savoir plus et connaitre son retour sur expérience !
Lire plus : 5 conseils pour réussir sa candidature en AST
Immersion dans la prépa ATS du Lycée Jean-Perrin à Marseille
Les prépas ATS en économie-gestion ont vocation à permettre aux étudiants de préparer leurs concours AST en bénéficiant d’un accompagnement quotidien tout en ayant l’opportunité de valider une licence. Cette formation doit leur permettre de rejoindre une école de management, un IAE ou encore un master.
Les conditions d’admission en Prépa ATS à Marseille
Pour intégrer la prépa ATS du Lycée Jean-Perrin, les candidats doivent constituer un dossier de candidature comprenant un avis du chef d’établissement ou d’un professeur, leurs bulletins, un CV et une lettre de motivation. L’admissibilité vaut admission puisque la sélection des candidats ne comprend pas de phase d’entretien. Chaque année une quarantaine de places sont ouvertes.
Lire plus : L’emlyon après un prépa ATS, le parcours d’Eve
Prépa ATS : quand candidater ?
Les inscriptions se déroulent du mois de mars à la fin du mois de mai. Après réception des dossiers, l’équipe pédagogique de la prépa ATS éco-gestion de Marseille se réunit et se prononce début juin sur les admissions. Les candidats retenus sont invités à participer à une réunion d’information fin juin ou début juillet. Au cours de laquelle leurs sont transmis notamment des premiers supports de révision et d’entraînement au TAGE MAGE et au TOEIC.
Prépa ATS : Un accompagnement à la préparation des concours
C’est certainement pour les candidats à cette formation le premier intérêt de rejoindre une prépa ATS, être accompagné dans la préparation des admissions parallèles. La prépa ATS de Marseille s’applique à préparer au mieux ses étudiants en les mettant en conditions d’examen. Cela passe notamment par l’organisation de simulations d’oraux. Ces simulations durent 15 jours et permettent aux candidats de se confronter à l’exercice de l’entretien de motivation d’autant mieux que les membres du jury font tous partie des écoles visées par eux.
Si l’équipe pédagogique a à cœur de présenter un maximum d’écoles aux étudiants, certaines font également la démarche de venir les rencontrer au Lycée, parmi elles Kedge, Skema, Montpellier business School ou encore l’IAE d’AIX.
ATS Marseille : un accompagnement qui dépasse la préparation des concours AST
L’accompagnement proposé aux étudiants va plus loin qu’une simple préparation au TAGE MAGE, au TOEIC ou encore aux oraux, il passe par une réflexion sur les ambitions du candidat. En effet, l’équipe de la prépa ATS de Marseille accompagne ses élèves dans la définition de l’école qui leur conviendra le mieux en fonction de leur projet professionnel, des formations proposées par cette école… Une fois cette école déterminée, les candidats sont préparés à ses épreuves spécifiques comme les oraux qui peuvent être différents. C’est le cas par exemple de l’épreuve des cartes à l’EMLyon ou encore de l’épreuve de la trilogie à l’EDHEC. Cette préparation à la carte est donc un véritable atout pour la phase terminale des admissions.
Prépa ATS Jean-Perrin : le profil des candidats recherchés
Les candidats rejoindront aussi la faculté, leur dossier doit donc correspondre aux attentes de la faculté d’Economie et de Gestion de Marseille. C’est-à-dire une bonne moyenne générale, un profil équilibré et des appréciations valorisantes. La sélection se porte également sur les notes d’anglais puisque pour réussir leurs concours les étudiants devront passer un test d’anglais. Si une préparation à ce test d’anglais est prévue tout au long de l’année, le candidat doit disposer d’un socle de connaissances suffisant. Le candidat doit également démontrer à travers son dossier une forte motivation puisque l’année est dense alternant partiels, préparation des concours, passage du TAGE MAGE, passage du TOEIC, préparation et passage des oraux. Cette motivation doit donc être doublée d’une capacité d’organisation et de travail importantes.
Lire plus : Liste des Prépa ATS en France
Pourquoi rejoindre une prépa ATS ?
D’abord rejoindre la prépa ATS du Lycée jean-Perrin c’est l’opportunité pour les candidats d’intégrer à terme un diplôme de niveau bac +5, et ce tout en assurant la réussite d’une licence. A ce titre, 10 heures de cours sont données à la faculté et 20 heures de cours (plus les khôlles et les DS) sont suivies au lycée. C’est également de pouvoir suivre une préparation de très bon niveau aux concours AST à travers notamment la participation à des TAGE MAGE blancs et autres TOIEC dans les conditions d’examen. Mais aussi bien évidemment à des cours de préparation à ces tests et à la réalisation d’entretiens en anglais. Un autre intérêt non négligeable d’une prépa ATS c’est d’intégrer une école de commerce en master 1 et donc de réduire d’un an le montant des frais de scolarité.
Lycée Jean Perrin : Les résultats de la prépa ATS de Marseille
En 2023, tous les étudiants de la prépa ATS du Lycée Jean-Perrin de Marseille ont validé leur licence 3. Ils ont également tous intégré une formation, 80% d’entre eux ayant intégré une école de management dont 28 à KEDGE.
Pourquoi faire une Grande Ecole de Commerce ?
Intégrer une Grande Ecole de Commerce, ce n’est pas donné à tout le monde. Une première raison à cela est évidemment le coût qu’elles peuvent représenter, avec des frais de scolarité figurant parmi les plus élevés en France. Une deuxième raison est la sélectivité qu’une partie d’entre elles impliquent (préparation de concours, certifications de langues, oraux d’admissibilité…).
Mais alors, pourquoi intégrer une Grande Ecole de Commerce ? Quel intérêt ?
Nous vous présenterons dans cet article 5 bonnes raisons pour le faire.
Lire plus : Comment choisir son école de commerce ?
1. La diversité des cours
Intégrer une Grande Ecole de Commerce, c’est d’abord se donner l’opportunité d’étudier un large spectre de cours et de découvrir un maximum de métiers. On y retrouve ainsi les cours classiques (finance, comptabilité, marketing, économie, ressources humaines) mais pas seulement. Vous pouvez y découvrir les joies du codage informatique ou du design graphique, en apprendre plus sur l’intelligence artificielle, la communication, les enjeux RSE ou encore apprendre à maîtriser plus de langues. Plusieurs écoles proposent également des cours de géopolitique, sociologie, ethnologie voire même de philosophie et de mathématiques appliquées.
2. S’ouvrir le plus grand nombre de portes
Grâce aux Grandes Ecoles, les débouchés sont multiples et vous pouvez vous orienter dans des secteurs très divers : finance, conseil, marketing, média, divertissement, grandes distributions, entrepreneuriat…
ENQUÊTE : Quelle est la perception des recruteurs secteur par secteur ?
De par l’hybridation des compétences enseignée en Business Schools, les étudiants sont très prisées des recruteurs français et internationaux comme le démontre les excellents chiffres du dernier classement 2022 du Times Higher Education.

3. Un gage d’employabilité certain
Les Programmes Grandes Ecoles des Business Schools françaises font partie des programmes qui ont une grande renommée chez les entreprises, sans compter les nombreux partenariats qui peuvent exister entre une école et des sociétés. En être étudiant vous permettra non seulement de bénéficier de cette réputation, mais également de rejoindre un large réseau d’étudiants de votre école qui vous sera d’une utilité certaine pour trouver un stage ou un emploi. En effet, un réseau se conserve pour la vie et peut vous aider tout le long de votre carrière professionnelle. De plus, l’employabilité pour les diplômés de ces écoles gravite (à minima) autour des 80 % (enquête de la CGE) avec généralement un bon salaire à la clef ! Etre en Grande Ecole de Commerce, c’est donc avoir la certitude d’avoir un emploi stable avec une bonne sécurité financière.
4. Une vie associative exceptionnelle
Les souvenirs que l’on garde de notre jeunesse sont souvent les meilleurs. Néanmoins, l’on peut vivre sa jeunesse de plusieurs manières différentes et ce qui est sûr, c’est qu’une expérience en ESC vous marquera à vie. Il s’agit des établissements qui offrent la vie associative la plus riche qui soit. Les associations sont nombreuses et il y en a pour tous les goûts (sports, arts, éloquence, musique, géopolitique, cuisine…).
Classement 2022 : Quelles sont les meilleures associations de France ?
Si vous vous sentez l’âme d’un BDE, vous mènerez des campagnes qui feront de vous un étudiant aguerri. Si vous n’êtes pas trop dans cette optique alors vous pourrez toujours participer et profiter de la montagne d’événements et de soirées qui sont organisées chaque semaine. En Ecole de Commerce, il y a toujours quelque chose à faire, un événement à organiser ou auquel participer. C’est une expérience qui ne dure, certes, que le temps de vos études, mais qui peut être incroyablement intense et enrichissante si vous vous prêtez au jeu.

5. Un accompagnement des étudiants à toute épreuve
L’une des raisons pour lesquelles ces écoles sont aussi chères réside dans le fait que chaque étudiant peut bénéficier d’un accompagnement personnalisé. Conseils d’orientations, construction de maquettes de parcours, rendez-vous carrières individuels… Les étudiants sont objet d’un véritable « cocooning » qui les suit le long de leurs études et qui les aide à les orienter.
Lire plus : 10 raisons de choisir une Business School !
Que ce soit au niveau personnel comme professionnel, ces étudiants sont traités comme des individus à part entière et sont aiguillés sur l’ensemble des choix qu’ils prennent. En plus de cela, une multitude d’événements, de rencontres et de forums sont organisés pour permettre la rencontre avec leurs potentiels futurs employeurs ou autre. Ainsi, quelle que soit la raison pour laquelle vous pensez à intégrer une Grande Ecole de Commerce, vous pouvez être certain qu’en utilisant les ressources qui vous sont fournies, vous ne serez jamais perdus !
Lire plus : Comment alléger ses frais de scolarité en Grande Ecole ?
Du secteur de la santé à l’IAE : le parcours d’Ibtihal
Du secteur de la santé à l’IAE, il n’y a qu’un pas ! Découvrez notre échange avec Ibtihal qui, après des formations en nutrition et en sport, a décidé de rejoindre un IAE. Un parcours singulier et inspirant, notamment pour ceux qui préparent les concours d’admissions parallèles.
Bonjour Ibtihal, peux-tu te présenter ?
Bonjour, je suis Ibtihal mais tout le monde m’appelle Ibti. Je suis une étudiante de 23 ans en master II marketing et management des services au sein de l’IAE Paris-Est sur le campus de Marne-la-Vallée. Je suis en alternance dans la startup Barnabe.io. Et avant ça j’ai fait plusieurs formations et j’ai eu plusieurs expériences dans la nutrition et le sport.
Tu t’es initialement orientée dans le secteur de la biologie, de la diététique, pourquoi ce choix ?
Depuis que je suis en sixième, je souhaite étudier la nutrition et la diététique et être professionnelle dans ce domaine. C’était une vocation que je ne peux pas vraiment expliquer. La nutrition m’intriguait et ma passionnait depuis toujours.
J’ai donc longuement étudié les différentes possibilités pour atteindre cet objectif. J’en ai conclu qu’il fallait que je devienne diététicienne-nutritionniste. En France en 2018, il fallait soit faire un BTS diététique soit faire un DUT Génie biologie option diététique (désormais BUT). J’ai opté pour la seconde option car je voulais quitter le lycée et intégrer un établissement universitaire, autrement dit : passer au niveau supérieur pour moi.
J’avais tout de même compris l’enjeu d’avoir un bac+5 en France et j’ai donc d’abord poursuivi mes études en Bachelor Diététique et nutrition sportive afin de compléter ma première formation.
Pourquoi avoir le choix de t’orienter ensuite vers un IAE ?
Pour moi l’IAE, c’est le bon compromis entre une formation universitaire et une école de commerce. Ce sont des établissements sélectifs et publics, avec de belles valeurs, qui offrent une formation très riche, avec la possibilité de la faire en alternance.
Avec le recul, peut-être que j’aurais dû préparer les concours pour les écoles de commerce, mais je n’ai aucun regret. La formation est vraiment qualitative et le réseau intéressant. J’ai passé deux très belles années là-bas, avec des expériences assez intéressantes : présentation d’un projet lors d’une journée de recherche, semaine d’échange à l’étranger, travail avec Danone etc.
Tu réussis à allier « business » et « santé » grâce à ton alternance actuel…
Le secteur de la santé a besoin d’expertise business, marketing et management pour se développer et répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain. Beaucoup de projets se développent en santé et j’en ai toujours eu conscience.
J’ai découvert par la suite que le secteur de la santé est très vaste et nécessite beaucoup de compétences diverses et variées.
Aujourd’hui je suis très fière de travailler dans une startup qui met le digital au service de la coordination des soins et de la prévention santé.
Après quelques années à me mettre au service des patient(e)s, je me mets au service des professionnel(le)s de santé pour les aider à accomplir leur mission. C’est un peu comme si j’aidais mes pair(e)s finalement.
En parallèle, tu développes le projet Entrepreneuriat Étudiant, peux-tu nous en dire plus sur ce projet ?
Ce projet peut se résumer à un podcast destiné aux étudiant(e)s passionné(e)s et attiré(e)s par l’entrepreneuriat. Il est né d’une frustration que j’éprouvais en écoutant des podcasts : celle du manque de diversité dans le podcasting français. Je voyais toujours les mêmes profils : homme blanc, fin de vingtaine, issu de la région parisienne, ayant grandi dans des conditions confortables, qui a commencé à entreprendre durant ses années en école de commerce. C’est très bien, mais il faut de tous les profils pour que chacun puisse s’identifier à quelqu’un et se dire « Moi aussi je peux le faire !
».
Avec Marlet, on a donc fondé en mai 2022 ce podcast qui s’appelait initialement Entre d’E Podcast. On y propose 2 formats principaux : l’Entracte, format court avec quelques conseils et astuces pour entreprendre et l’Entre nous, le format interview avec nos invité(e)s étudiant(e)s entrepreneur(e)s qui reviennent sur leur parcours atypique !
Aujourd’hui, il compte plus de 3000 écoutes, toutes plateformes confondues.
Entreprendre quand on est une femme : quels sont les avantages et les inconvénients ?
Entreprendre quand on est une femme, c’est pour moi une excellente manière de se libérer du monde du travail construit et développé pour les hommes. Clairement, la vie professionnelle n’est pas adaptée pour les femmes et on se retrouve très (trop) souvent perdantes. Le fonctionnement des femmes, qu’il soit physiologique ou psychologique, n’est pas le même que celui des hommes et pourtant nous devons quotidiennement nous y adapter, quitte à mettre notre santé – mentale, physique et sociale – à l’épreuve.
L’inconvénient, c’est que le monde entrepreneurial est aussi très masculin. Toutefois, nous disposons de plus de plasticité qui nous permet d’adapter notre projet, notre business à notre fonctionnement, nos besoins et nos objectifs.
L’avantage que ce soit un monde très masculin, c’est que les femmes font souvent l’exception, modulo les domaines d’expertise. De ce fait, les entrepreneurs sont souvent très enclins à nous aider et nous épauler. Je pense qu’on nous voit moins comme une menace, je ne sais pas. En tout cas, ça nous sert et c’est le principal.
Qu’est-ce que ce projet de podcast t’a apporté concrètement ?
Initialement ce projet c’était vraiment pour combler cette frustration que j’avais, m’amuser et augmenter la valeur perçue de ma marque personnelle (ou « personal branding »).
Finalement, il m’a apporté beaucoup plus que ça : de la visibilité sur Linkedin, un réseau agrandi grâce aux invités et à la promotion des différents épisodes, une expertise en podcast qui me permet de régulièrement conseiller différents (futurs) créateurs de contenu, l’invitation à d’autres podcasts qui sortent
prochainement … et la parution dans Objectif AST !
Concrètement du réseau et de nouvelles compétences en appui à toute ma stratégie de contenu sur Linkedin.
Un conseil pour les étudiants qui souhaitent entreprendre ?
De se lancer. Entreprendre quand on est étudiant c’est développer des compétences, des connaissances, de l’expertise, se confronter à l’échec qui fait partie de la vie professionnelle quoi qu’on veuille ou qu’on fasse… C’est la meilleure manière de mettre des mots sur ses peurs et de les surmonter. C’est un peu une thérapie finalement.
C’est aussi l’occasion de s’occuper et d’éviter de perdre son temps dans des activités qui ne sont pas très constructives disons (téléphone, réseaux sociaux, soirées trop fréquentes…).
Prépa ATS, EDHEC, Berkeley : le parcours de Bastien
Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Bastien Canellas, j’ai 20 ans et je viens de Toulouse. Passionné par l’activité sportive, l’automobile et l’investissement, je suis quelqu’un de nature curieuse et je cherche sans cesse à me dépasser.
Après avoir terminé mon double cursus Prépa ATS Économie-Gestion et Licence 3 AES, je vais rejoindre le programme Global Economic Transformation & Technology de l’EDHEC à la rentrée prochaine.
Peux-tu nous expliquer ton parcours ?
Après avoir obtenu mon Baccalauréat Économique et Social, j’ai fait le choix de rejoindre l’Université Paul Sabatier de Toulouse pour effectuer un DUT Techniques de Commercialisation. C’est ainsi que j’ai expérimenté le travail en groupe dans un cadre académique / professionnel avec des modules d’enseignements à la fois théoriques et pratiques. Durant ces deux années de DUT j’ai eu l’opportunité de m’enrichir d’une multitude d’expériences professionnelles : postes saisonniers, projets tuteurés, stages et une aventure entrepreneuriale.
Enfin, mon objectif était de rejoindre une école de commerce directement à la suite de ma formation jusqu’à ce que je découvre la prépa ATS de Toulouse. J’ai donc saisi ce tremplin avec l’ambition d’intégrer un top 5. Cette année a réellement été synonyme de dépassement de soi et m’a permis d’acquérir de nouvelles méthodes de travail, connaissances et compétences.
Quelles sont, selon toi, les raisons de rejoindre une prépa ATS ?
Bastien : En quelques mots, la prépa ATS donne une dynamique de groupe idéale pour se préparer et surtout briller aux concours des écoles de management (ou autres formations sélectives). De plus, les enseignements liés à la licence permettent également un approfondissement des connaissances en culture générale et actualité, économie, droit, gestion…
440/600 au TAGE MAGE est un score exceptionnel, as tu des conseils à partager avec les futurs candidats AST ?
D’une manière générale, il n’y a pas de secret, il est nécessaire de travailler régulièrement, efficacement et de s’y préparer le plus tôt possible pour obtenir un très bon score. Il y a beaucoup de notions balayées par ce test et il est primordial de se référer aux cours et d’apprendre tout ce qui demande du par cœur. Je conseille vivement l’achat d’un manuel de préparation autant pour les cours que les conseils / astuces et les tests blancs.
Lors des entrainements, il est primordial de repérer ses points forts et points faibles. Pour obtenir plus de 400 au TAGE MAGE il est clair que cela demande d’être complet. En revanche, s’appuyer sur des facilités / forces dans les sous-tests mathématiques (calcul, conditions minimales, logique) donne clairement un avantage car ils sont moins “aléatoires” que le français (compréhension, raisonnement, expression).
Selon moi, il faut donc :
Faire des fiches (ou Quizlet / Anki) pour tous les sous-tests : formules, carrés, cubes, propriétés pour les maths et règles de grammaire, orthographe, vocabulaire pour le français,
Retravailler ses tests blancs en reprenant ses erreurs sur tous les sous-tests et ne pas en négliger certains,
Avoir une stratégie définie selon le score que vous visez et à laquelle vous ne dérogerez pas le jour de l’examen,
Faire et refaire des tests blancs en conditions réelles pour maitriser sa gestion du temps et sa concentration.
Lire plus : Concours AST : Brochure du PGE de l’EDHEC
Quel est le quotidien en Prépa ATS ?
Notre quotidien est un équilibre entre les révisions du TAGE, du TOEIC, des cours de l’université sans pour autant oublier un minimum de vie personnelle (activité sportive, vie sociale).
Quelles sont selon toi les qualités nécessaires pour la réussir ?
Pour citer deux principales qualités, je dirai l’organisation et la rigueur :
- l’organisation car le double cursus entraîne une charge de travail importante
- la rigueur car il est essentiel de rester concentré et de persévérer malgré la difficulté tout au long de l’année pour obtenir les meilleurs résultats possibles
Tu as obtenu la note de 990/990 au TOEIC, quelles sont tes astuces pour obtenir un tel score ?
Sur la forme, c’est comme pour le TAGE MAGE, un apprentissage méthodique et régulier. Pour moi, mes révisions se sont divisées en deux parties, une active, l’autre plus passive.
La partie active visait à s’entrainer sur des questions réelles, des tests blancs et à étudier rigoureusement la grammaire et le vocabulaire TOEIC.
La partie plus passive consistait à ne pas se limiter à des entrainements TOEIC spécifiques mais à intégrer l’anglais dans sa vie quotidienne. Cela passe par la lecture d’articles de presse, l’écoute de podcasts, le visionnage de films et séries en anglais.
De plus, ce n’est pas uniquement utile pour le test mais cela le sera tout autant pour les oraux !
Pourquoi avoir choisi l’EDHEC ? Peux-tu présenter le programme Global Economic Transformation & Technology de l’EDHEC ?
Mon projet professionnel est d’occuper un poste managérial et commercial au sein du siège d’un groupe automobile et je souhaite aujourd’hui me spécialiser en management international dans l’innovation. Jusqu’à présent, je n’ai pas encore eu la chance d’étudier à l’étranger et c’est vraiment cette ouverture que je recherche aujourd’hui.
La stratégie internationale de l’EDHEC me parait en accord avec le parcours que j’ai envie d’avoir et le programme Global Economic Transformation & Technology de l’EDHEC en est l’incarnation. Il est dispensé sur 3 continents : en Europe, sur le campus parisien de l’EDHEC Business School, en Asie, à la SKK GSB Sungkyunkwan University de Séoul et en Amérique du Nord, à l’University of California, Berkeley, Haas School of Business. Je suis persuadé que ce parcours me permettra de faire des liens entre le progrès technologique et le secteur automobile, tout en disposant de techniques innovantes de management.
Quels conseils donnerais-tu aux candidats qui veulent préparer les admissions parallèles ?
Si vous avez le projet de passer les concours en admissions parallèles, mettez-vous au travail le plus tôt possible pour le TAGE et le TOEIC (en commençant dès l’été par exemple). Profitez d’une partie de votre temps libre, vacances pour avoir des expériences professionnelles, associatives, développer des compétences singulières qui démarqueront votre dossier de celui des autres candidats.
Et puis rappelez-vous, c’est du travail certes, mais vous ne le regretterez pas !
Être AST à l’IESEG : Découvrez les parcours de Louise et Romain au sein du PGE
Pour sa mouture 2023, le concours ACCES s’ouvre aux admissions parallèles. Pour autant cette nouvelle voie d’admission correspond plus à une mutualisation qu’à une réelle nouveauté. En effet, un certain nombre d’étudiants intégraient déjà l’IESEG en 2e, 3e voire 4e année. C’est le cas de Louise de Garrigues et de Romain Dumartin qui nous partagent leur expérience au sein du programme grande école de l’IESEG.
Lire plus : ACCES dévoile son concours dédié aux admissions parallèles
Quel a été votre parcours avant de rejoindre l’IESEG ? Et pourquoi avoir décidé de rejoindre cette école ?
Louise: Après un bac ES et avoir entamé une prépa ECE, j’ai fait le choix de rejoindre une licence en économie. J’avais besoin d’enseignements plus concrets et donc j’ai fait le choix d’intégrer l’IESEG. C’est le témoignage d’un étudiant et sa place de première école du classement des écoles de commerce post-bac qui m’ont convaincu de la rejoindre. Mais c’est aussi sa dimension internationale à travers l’opportunité offerte par l’IESEG de partir pour un semestre à l’étranger. Autant que sa dimension professionnalisante avec l’opportunité d’effectuer un stage de six mois.
Romain : Je recherchais une formation pratique avec des applications concrètes, c’est la raison pour laquelle j’ai rejoint une première formation en management. A l’occasion de ce premier cycle j’ai pu partir un an en échange à Oxford. J’ai eu l’occasion de réaliser trois stages pendant cette licence notamment en Transaction Services et en Restructuring. A l’occasion de ces expériences, j’ai échangé avec des managers et des étudiants qui m’ont convaincu de rejoindre l’IESEG pour mon master. Mon choix s’est porté sur la majeure Financial Transactions & Corporate Strategy. Laquelle a ce double intérêt d’apporter une vision interne qui pourrait être celle d’un directeur financier mais aussi externe se rapprochant de celle d’un analyste par le biais de techniques de valorisation, par exemple.
Comme s’articule votre parcours à l’IESEG ?
Louise : Après un premier semestre de cours, j’ai rejoint les équipes de Sézane en tant que chef de projet marketing pour un stage de six mois. J’ai rejoint ensuite l’université de Stockholm pour un échange d’un semestre en marketing et mangement. Je termine mon parcours par la rédaction de mon mémoire sur la manière dont la perception influence la consommation d’une mode responsable.
Romain : Mon parcours a démarré par deux semestres de cours, un semestre de rédaction de mon mémoire et se terminera par un stage de six mois. Notre parcours est jalonné – au-delà des cours et des travaux de groupe – par des conférences animées par les acteurs de la finance (Big four…), des rencontres alumnis et la préparation aux entretiens des métiers de la finance. Lesquels sont connus pour leur technicité.
Lire plus : Trainy : Décrochez votre stage en finance grâce à la seule préparation 100% gratuite
Quel restera ton meilleur souvenir à l’IESEG ?
Louise : C’est sans aucun doute mon échange à Stockholm. D’abord parce que notre classement définit l’ordre de choix de la destination de notre échange et que j’étais très heureuse de pouvoir décrocher le premier de mes choix. Ce système de classement est d’ailleurs une réelle motivation pour obtenir le meilleur dossier possible. Ensuite parce que cette expérience a été exceptionnelle du fait de l’immersion que j’ai vécue, au sein de cette ville incroyable qu’est Stockholm et des voyages que j’ai pu faire. Mais aussi par la richesse des enseignements et les spécificités du rythme académique en Suède.
Qu’est-ce qui t’a séduit dans le positionnement de l’IESEG ? Comment pourrais-tu convaincre un candidat aux admissions parallèles ?
Romain : Je considère que c’est une école dynamique, qui a le souci permanent de s’élever. J’entends par là d’innover en proposant des cours nouveaux à l’image du partenariat avec Le Wagon (E-learning d’acculturation au code), un très large éventails d’électifs qui permettent d’acquérir des compétences diverses et globalement parce qu’elle se donne les moyens de progresser, aussi dans les classements. Enfin parce que j’ai découvert des professeurs bienveillants qui ont la volonté de nous transmettre leur savoir et de nous permettre de réussir.
Antoine Leroy, son parcours de BTS Commerce International jusqu’à NEOMA
Bonjour, je m’appelle Antoine, j’ai 22 ans. Actuellement je suis étudiant en M1 au sein du programme grande école de Neoma BS.
Quel est ton ton parcours ?
A l’issue de mon bac scientifique, j’ai intégré un BTS commerce international : je recommande ce BTS car il est assez complet et permet d’avoir deux expériences professionnelles dont une à l’étranger. Ces deux années m’ont permis de réaliser ma motivation quant à l’approfondissement des compétences notamment en management international, mais également celles liées à la partie commerciale ! C’est pourquoi je décide de rejoindre une licence professionnelle « Technico-commerciale » qui apportait du sens à mon projet professionnel. J’ai eu l’opportunité d’être alternant comme commercial durant une année, au sein d’une PME ou les acquis de mon BTS m’ont servi lors des différentes phases de prospection, négociation et vente.
Lors de cette année de licence j’entends parler des concours AST de par différents amis (ayant eux fait prépa). Cependant on m’explique assez rapidement, qu’un bon niveau en anglais est exigé. Or, le mien était à l’époque plus que banal, voire même en deçà de la moyenne. Septembre 2021, je décide donc de partir faire un « gap year » à Cork en Irlande pour améliorer mon niveau. Sans vouloir m’attarder longuement dessus, j’ai travaillé dans un McDonald’s pendant 7 mois à plein temps d’abord comme équipier puis comme formateur. La réussite de ce gap year, à mon sens, est liée à mon immersion TOTALE au sein du pays : je suis parti seul, j’ai vécu en auberge de jeunesse puis en colocation avec des Irlandais, j’ai fait mon maximum pour éviter la communauté française sur place et surtout j’ai lié des amitiés fortes avec des Irlandais ce qui a facilité mon apprentissage de la langue.
Qu’est ce qui t’a convaincu de passer les concours AST ?
Lorsque j’ai compris l’existence de cette voie parallèle, je n’avais pas encore tous les éléments de réponse quant à l’intérêt ou non pour moi de faire une Grande Ecole. Malgré tout, j’avais pour ambition de monter en compétences notamment en tant que commercial pour moi le PGE était une suite logique de mon parcours et le seul moyen d’y arriver passait par les concours AST.
Pourquoi avoir choisi cette Grande École ?
J’ai choisi NEOMA car c’est avant tout un très bon établissement d’un point de vue académique, mais c’est aussi et surtout pour son fort engouement associatif et sportif. Lors du passage de mes oraux à Neoma Reims j’ai tout de suite été séduit par la convivialité des admisseurs. Ils ont su m’expliquer qu’à contrario d’autres écoles, en tant qu’AST2 à Neoma, il était tout à fait POSSIBLE de s’investir dans la vie associative.
Qu’apprends-tu au sein de ta formation ?
Lors de mon premier semestre en M1 il y a un tronc commun ou nous apprenons : la comptabilité et le management lié à celle-ci, la finance, le marketing, la logistique liée à la supply chain, l’anglais commercial, l’italien mais il y a également la possibilité de choisir une troisième langue de son choix !
Lire plus : Passer les concours AST et devenir entrepreneur : témoignage vidéo !
Quelles associations as-tu choisies ?
Prépa’Remois 🡪 l’association d’égalité des chances, qui est à vrai dire une des raisons de mon profond épanouissement à Neoma ! En quelques mots nous encadrons des ateliers culturels (vulgarisation de l’actualité, sortie à l’opéra au théâtre ou au musée) destinés aux jeunes de quartiers défavorisés de la 6éme jusqu’en post-bac.
L’Atelier 🡪 l’association fournisseuse de merchandising à Neoma, la plupart des autres associations/sportifs passent par nous pour se procurer des vêtements aux couleurs de leur asso !
Quelles sont les qualités nécessaires selon toi pour rejoindre une asso ?
Selon moi, toutes les qualités sont celles requises en entreprise : travail d’équipe, rigueur, prise d’initiative, mais à cela s’ajoute un engagement et une passion concrète pour le projet !
Quels sont tes projets suite à ton Programme Grande Ecole ?
Je n’ai pas encore de projet définitif, il me reste encore une année de césure à faire et mon choix de spécialisation M2. Mais je souhaite continuer de m’orienter en vente.
Quelles méthodes as-tu mises en place pour performer aux concours ?
Pour le concours AST et la partie écrite, il n’y a pas de secret. Il faut s’entraîner rigoureusement notamment pour le TAGE MAGE. Plusieurs plateformes sur internet permettent de s’améliorer, si je ne devais n’en citer qu’une ce serait PrepMyFuture (entraînement pour le TOEIC disponible aussi). Des ouvrages de la FNEGE sont également une plus-value dans l’entraînement. Pour le TOEIC je recommande vivement de pratiquer l’anglais au maximum dans la vie de tous les jours, pas tout le monde a l’opportunité comme moi de « sacrifier » un an de scolarité pour partir à l’étranger. En revanche, il est facile, de mettre son portable en anglais, de lire des revues de presse, regarder des films en anglais ou encore de faire des simulations de TOEIC sur PrepMyFuture.
La partie orale (en français), sûrement la plus stressante pour les candidats, est en réalité bien plus facile si bien préparée. En effet, on parle de son parcours et de la pertinence de l’école pour celui-ci. Mes conseils seraient de :
1) Connaître l’école et ses SPÉCIFICITÉS, cela ne sert à rien de vanter des mérites identiques à la plupart des Grandes Ecoles. Il faut être concret et expliquer quels éléments différenciant nous plait pour une école
2) Savoir mettre en avant ses expériences passées. Ne vous censurez pas en pensant qu’une petite expérience n’est pas intéressante, au contraire ! Les compétences transversales que vous avez acquises sont un véritable plus pour le jury ! A vous de les vendre.
3) Soyez vous-même et donnez envie à votre public. N’oubliez pas qu’en face de vous ce sont des humains, ils passent des entretiens de 9h du matin jusqu’à 17h, faites-leur voir quelque chose de différent.
Pour l’anglais, respirez un bon coup et privilégiez un Anglais simple et fluide à un anglais complexe jonché d’erreurs de grammaire ou de temps de pause.
Combien as-tu obtenu au TAGE MAGE ?
Je visais un score de 350 mais n’ai obtenu « que » 310. Ce fut une déception mais cohérent avec ma trop courte préparation pour le Tage mage. La partie français et calcul ne peut pas S’IMPROVISER. Pour espérer un score aux alentours de 350 il faut s’entraîner de manière récurrente. Néanmoins pour toutes les personnes qui se posent la question un score de 310 n’est pas un frein pour espérer atteindre les écoles du top 10, mais il faudra exceller sur les autres épreuves du concours !
Qu’est-ce que t’aurais aimé qu’on te dise avant de te lancer dans les concours AST ?
De peut être réviser un peu plus, (surtout la partie française), mais également qu’il vaut mieux s’entraîner 30min par jour pendant 4-5 mois plutôt que 2 heures par jour sur 3 semaines !
Le mot de la fin ?
Bon courage à vous, vous allez avoir l’école que vous visez !
Lire plus: Comment intégrer HEC en admissions parallèles en 2022
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